19 février 2015

MITRYCHEM à Mitry-Mory doit vivre :Signez la pétition !


Pour soutenir les camarades de mitrychem, signez et faites signer la pétition.

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A l'attention de Mr Rebsamen, Ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social .

Alors que les anciens laboratoires LAFON, rachetés successivement en 2001 par la firme américaine CEPHALON, puis par la firme israélienne TEVA en 2011, ont été demantelés, créant des sociétés sous-traitantes comme MITRYCHEM à Mitry-Mory en Seine et Marne, cette dernière est aujourd'hui en redressement judiciaire.

Alors que les aides publiques (2,3M€) ont été données sans contreparties, ces sommes n'ont pas servi l'emploi, ni l'investissement, ni le développement de l'entreprise mais enrichi les actionnaires.

Alors que le chiffre d'affaire du médicament représente 26,2 milliards d'€ pour 2013 en France, la production de médicament reste pertinente sur le territoire national et répond à un besoin réel.

Nous demandons:

L'arrêt de la procédure concernant Mitrychem

La mise en place d'un plan de relance de Mitrychem avec le maintien de tous les emplois. Le maintien de la production du SPASFON à Mitry-Mory ainsi que le développement et la production de nouveaux médicaments sur le site. 

COOPER MELUN : Une belle victoire


À l'appel de la CGT et le Force Ouvrière, les salariés de la coopérative pharmaceutique de Melun, étaient appelés, lundi 16 Février, à se mettre en grève pour les salaires, sachant que la dernière proposition patronale dans le cadre des négociations annuelles était de 13€ brut par mois et une prime exceptionnelle de 550 €.
Durant deux jours le mouvement initié par 80 grévistes, le premier matin, n'a cessé de monter en puissance.
Après le site de Melun, le site de Ponthierry et des salariés de services peu habitués à se mobiliser, sont entrés dans le mouvement.
Alors qu'après la première journée de grève de la direction se disait trop occupée pour recevoir les représentants des salariés, la donne a visiblement changé le deuxième jour.
Au terme de deux jours de grève l'assemblée générale qui s'est déroulée mercredi à 10h à voté la reprise de travail.
Ils gagnent :
- une augmentation de 45 euros brut par mois
- le maintien de la prime de 550 euros
- et le lissage des heures de grève sur 10 mois.
Ils obtiennent à l'arraché que les nouveaux embauchés puissent bénéficier d’augmentation de salaires, ce qui était exclu par la direction.
L’unité d’action des salariés et de leurs syndicats démontre encore une fois son efficacité.
Le blocage du site et la détermination des grévistes ont poussé le patronat à négocier.

Le syndicat CGT entend aujourd’hui travailler la question de la refonte de la grille de salaire pour la reconnaissance des savoirs faire et des qualifications.

Libertés fondamentales : Rassemblement « Ne touchez pas au droit de grève ! »


Paris, 18 février 2015. Sur le Parvis des Droits de l’Homme, au Trocadéro, Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, aux côtés des secrétaires généraux de la CFDT et de FO, a participé au rassemblement en défense du droit de grève.

Sharan Burrow, secrétaire générale de la confédération syndicale internationale (CSI), a pris la parole pour souligner avec fermeté l’attachement des travailleurs du monde aux droits fondamentaux, et en particulier leur droit de se mettre en grève. Elle en a appelé aux employeurs pour respecter ces droits partout dans le monde, et pas seulement dans les pays où le droit national les garantit.
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Assemblée Générale des retraités de l'UL de Coulommiers le 19 février 2015














Bonjour à toutes et à tous

Je vous envoie la 2éme partie des photos de la journée du 14 févier 2015


Salutation fraternelle

Pour l'UL CGT de Coulommiers

Michel Bader


Déclaration des organisations syndicales CGT, FO et Solidaires : Journée de grève interprofessionnelle et à manifester le 9 avril 2015



Combattre et réduire le chômage, permettre la création d’emplois en changeant de politique économique, préserver les droits et tous les régimes sociaux, garantir et promouvoir le service public, augmenter les salaires (secteurs public et privé), les retraites, les pensions et les minimas sociaux, constituent des priorités sociales, de surcroît en période de crise.

Valls et Macron font monter la température sociale à 49,3°


L'Union Locale C.G.T de Coulommiers s’engage dans un processus de mobilisation, elles invitent les retraité(e)s et les chômeurs(ses) à se mobiliser et appellent l’ensemble des salarié(e)s, du public et du privé, à une journée de grève interprofessionnelle et à manifester le 9 avril 2015.

18 février 2015

POUR LA DÉMOCRATIE ET LE PROGRÈS SOCIAL ! AUSTÉRITÉ LA LOI MACRON : C’EST NON !


La crise, dans ses dimensions politique et sociale, s’approfondit mais le gouvernement s’entête et choisit l’autoritarisme pour imposer sa loi Macron ! Si elle était adoptée, cette loi voulue par le Medef et la droite, organiserait une insécurité sociale généralisée : conditions de travail et de rémunérations attaquées avec la déréglementation du travail du dimanche et de nuit, toujours plus de libertés pour les patrons et moins de droits pour les salariés, attaques profondes sur le logement, les transports, les hôpitaux publics…
Encore une fois les femmes et les jeunes en seraient les premières victimes.

Pour en savoir plus contre la loi Macron,et de signer la pétition

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TRAVAILLEURS HANDICAPÉS : LE GOUVERNEMENT DIFFÈRE L'APPLICATION DE LA LOI



A l'occasion des dix ans de la loi Handicap 2005, plusieurs manifestations ont été organisées en France et à la Réunion par les organisations de personnes handicapées pour dénoncer les promesses non tenues par l’État, les collectivités territoriales et le patronat.
Ainsi en est-il de l'engagement de l’État de rendre accessibles tous les établissements recevant du public. Seuls 40 % le sont aujourd'hui alors que la loi de 2005 avait fixé comme objectif que tous le deviennent au 1er janvier 2015.


 articles L.5212-6 et L.5212-7-1 du code du travail

Projet de Loi Macron : La CGT condamne le passage en force


Devant le risque que le projet de loi Macron ne soit pas voté à l’Assemblée Nationale, le gouvernement a dégainé le 49-3, empêchant le vote. Après avoir choisi d’inscrire dans la loi les propositions du MEDEF sans concertation ni négociation avec les acteurs sociaux, le gouvernement passe à nouveau en force en contournant la représentation nationale.
Encore un déni de démocratie !
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Défendre et renforcer les libertés fondamentales partout dans le monde

Tribune commune de la CFDT, CFTC, CGT et FO

Depuis la création de l’Organisation Internationale du Travail en 1919 sur les ruines encore brûlantes du premier conflit mondial, jamais les normes internationales du travail n’avaient semblé autant indispensables qu’aujourd’hui. Au cours de son siècle d’existence, l’OIT a forgé, défendu, renforcé des principes essentiels qui irriguent notre société et ont permis de substantielles avancées sociales. Se souvient-on par exemple que le principe « à travail égal, salaire égal » se trouve dans la constitution de l’OIT (1919) ? Quant à la célèbre formule « le travail n’est pas une marchandise », elle apparaît pour la première fois en 1944, dans la déclaration de Philadelphie, texte qui relance l’activité de l’OIT à l’issue de la seconde guerre mondiale.

Loi Macron = Licencier abusivement, mais pas que

Le ministre de l’Économie Macron est chargé de tenter de faire changer des législations qui relèvent d’autres ministres, comme ceux du Travail, de la Justice, du Commerce ou de l’Artisanat, des Transports, du Logement. Il tente de modifier des pans importants de notre droit du travail : travail du dimanche élargi à la possibilité de douze dimanches travaillés par an, travail de nuit modifié, facilitation des licenciements, allongement du temps de travail, juridictions prud’homales mises en cause, inspection du travail affaiblie, médecine du travail dénaturée,


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17 février 2015

COOPER MELUN EN LUTTE



Près d'une centaine de salariés se sont mis en grève, hier, à la coopérative pharmaceutique de Melun afin d'exiger les augmentations de salaire.
Lors de la troisième réunion de négociation obligatoire d'entreprise (NOE) la direction a enfin dévoilé ses propositions.
Alors que les bénéfices de l'entreprise pour l'année 2014 sont de 34 millions d'€, que le matelas de trésorerie est de 132 millions d'€ et que les dividendes versés aux actionnaires avoisinent 25 millions d'€ pour l'année 2013, la direction propose 13 € brut d'augmentation générale par mois.

L’entreprise ayant bénéficié du crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE) de 320 000 € pour 2014 et d’environ 500 000 € euros pour 2015, la proposition d’augmentation générale est insultante.
Ces sommes n’ont bénéficié ni à la création d'emplois sachant que l'entreprise perd des emplois de façon régulière depuis des années, ni à l'investissement où à l'innovation, car sur le plan industriel rare ont été les recherches de nouvelles productions.


La grève a été reconduite aujourd’hui.


Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...