Le
gouvernement a fait ajouter à la loi Macron un amendement plafonnant
le montant des indemnités prudhommales en cas de condamnation pour
licenciement abusif.
Un
déni de démocratie
Cette
disposition n’a pas fait l’objet de négociation ou de
concertation avec les acteurs sociaux. Elle n’a même pas été
débattue ou votée au parlement étant donné que le gouvernement a
utilisé le "49-3" !
Un
chèque en blanc pour les licenciements abusifs
Alors
que la loi sécurisait les salariés, en imposant la réparation
intégrale du préjudice subi par le salarié, et en fixant une
indemnité plancher de 6 mois, c’est maintenant les employeurs
voyous qui sont protégés avec un plafond de condamnation, parfois
inférieur au plancher !
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