En
mai dernier, le journal Le Monde décrivait, grâce aux « Panama
Papers », les étonnantes pratiques des banques françaises dans les
paradis fiscaux. On y a appris, entre autres, que la Société
Générale a administré plus d’un millier de structures offshore,
qu’un prête-nom utilisé par la BNP est impliqué dans des
circuits de corruption liés à la vente d’armes ou que le Crédit
Agricole a contraint le cabinet Mossack Fonseca à mentir aux
autorités des îles Vierges, pour protéger un client.
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