6 mai 2021

1ER MAI 2021 : « Une attaque de type fasciste »

 

La CGT pourrait déposer plainte contre le préfet de police de Paris pour les violences lors du défilé. Pour les représentants de la CGT, les actes de violences subis par une partie du cortège syndical, le 1er Mai, étaient le fait« d’individus pour leur majorité issus de l’extrême droite ».Valérie Lesagesecrétaire générale de l’union régionale de la CGT d’Île-de-France



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5 mai 2021

 Comment fonctionnent les fameux « SO », qui encadrent les manifestants ? Réponses des principaux intéressés.



 


Des malabars surarmés, rompus aux techniques de combat ? Pas vraiment. Les Services d’Ordre (SO) des syndicats, chargés de sécuriser les manifestants tout au long du parcours, ne correspondent pas aux clichés en vigueur.« Cette image de gros bras virilistes, dirigeant les manifs d’une main de fer, n’a pas de sens assure Sylvain Bernard, coordinateur régional CGT des équipes animation luttes et sécurité. Pour l’essentiel, notre équipement se limite à des casques et des lunettes. 



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 « Une ambiance de lynchage » : ce qui s’est passé le 1er Mai


 

Samedi, les militants de la CGT ont été violemment pris à partie en fin de mobilisation parisienne, place de la Nation. Ces attaques inédites interrogent sur la doctrine de maintien de l’ordre du gouvernement. Des syndicalistes roués de coups, des camions attaqués au marteau, le tout dans un concert d’insultes… De mémoire de militants, même les plus chevronnés, on n’avait jamais assisté à un tel déchaînement de violence, émanant du cortège lui-même. Ce qui s’est passé le 1er Mai à Paris, en fin de manifestation, laissera probablement des séquelles.



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Résistance Sociale
 
Résistance Sociale apporte tout son soutien
à la CGT
 

Samedi 1er mai à la fin de la manifestation parisienne des militants isolés de la CGT ont été lâchement pris à partie par un groupe d’individus particulièrement violents.
Résistance Sociale apporte tout son soutien à ces militants et à leur organisation syndicale.

Depuis plusieurs années, des éléments violents perturbent les manifestations dans le but évident de les discréditer. Cette fois, ils ont franchi une marche supplémentaire en s’en prenant physiquement à des militants syndicaux.

Il faut cesser de trouver des excuses à ces fauteurs de troubles, casseurs, black-blocs, etc et les condamner fermement. Plus encore en cette journée du 1er mai symbole de la lutte des travailleurs de tous les pays pour obtenir de nouveaux droits et garder ceux durement acquis.

Il est également temps d’exiger de nos gouvernants qu’ils donnent des ordres clairs et fermes aux forces de police afin que ces casseurs ne puissent plus nuire aux manifestations.

Résistance Sociale rappelle l’importance des organisations syndicales pour la défense des droits collectifs et individuels des travailleurs.

Qu’il s’agisse du statut d’EDF, de la défense de la sécurité sociale, du combat contre la réforme des retraites, ou encore de la lutte contre les licenciements, les organisations syndicales, et la CGT rn particulier, prouvent chaque jour leur utilité face au capitalisme débridé imposé par les dirigeants de la France et de l’Europe.
 
Résistance Sociale sera toujours aux côtés de ceux qui luttent pour un avenir meilleur.


Paris le 3 mai 2021
 

4 mai 2021



Communiqué commun de la CGT et de l'Union Régionale d'Île-de-France CGT


 

Violences inacceptables contre le monde du travail !


Samedi 1er mai, alors que les 25 000 manifestants commençaient à quitter la place de la Nation, au terme d’une manifestation massive, porteuse des revendications des travailleurs et de l’aspiration à une société plus juste, elles et ils ont été victimes d’une violence inacceptable.


Si, sur le parcours, une fois encore, le cortège a dû faire face à plusieurs interventions des forces de l’ordre totalement injustifiées, la manifestation a pu, tout de même, arriver à son terme.



C’est à ce moment qu’un important groupe d’individus dont certains se revendiquant gilets jaunes, ont fait usage d’une extrême violence à l’encontre des manifestants.



Insultes homophobes, sexistes, racistes, ont précédé des actes de vandalisation des véhicules des organisations, et, bien plus grave, la haine s’est exprimée par un déchainement de coups et de jets de projectiles.



Notre organisation, la CGT, était particulièrement ciblée.



21 blessés, dont 4 graves auxquels nous apportons tous notre soutien et notre solidarité !



Le monde du travail ne reculera pas plus devant ce type d’agressions que face aux politiques libérales menées par le gouvernement actuel, dont les lois veulent nous priver de notre liberté.



Nous appelons l’ensemble du monde du travail à se mobiliser, à rejeter toutes formes de haine qui divise les femmes et les hommes de notre pays et à renforcer avec les organisations syndicales, les luttes face aux politiques libérales au service du capitalisme.



Montreuil, le 1ermai 2021





Violences inacceptables contre le monde du travail !


 

Samedi 1er mai, alors que les 25 000 manifestants commençaient à quitter la place de la Nation, au terme d’une manifestation massive, porteuse des revendications des travailleurs et de l’aspiration à une société plus juste, elles et ils ont été victimes d’une violence inacceptable.



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Contre la fermeture des bureaux de poste : des mobilisations partout en France


 

Le nouveau plan stratégique de La Poste confirme l'accélération des fermetures de bureaux de poste. Des mobilisations ont lieu partout en France. « Chaque jour La Poste annonce la fermeture d'un nouveau bureau de poste » dénonce Barbara Trichet, responsable du collectif fédéral Réseau. Il reste aujourd'hui environ 5300 bureaux de poste dits « de plein exercice » (qui proposent tous les services que l'on peut trouver dans un bureau de poste), alors qu'ils étaient encore 8414 entre 2017.



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ILS N’ONT PAS HONTE  : France 2 et l’« expert » de l’antisyndicalisme


Voilà qui commence mal. Pour évoquer les violences du 1er Mai contre la CGT dans la manifestation parisienne, ce dimanche soir, le JT de France 2 ouvre son sujet sur le recul des effectifs de la centrale ces dernières décennies. On voit mal le rapport ; le phénomène touche toutes les organisations syndicales, il est étroitement lié à la désindustrialisation, à l’atomisation des collectifs de travail, à l’envolée du chômage et de la précarité, mais de cela on ne saura rien. Vient ensuite l’incontour­nable « expert ». Un certain Bernard Vivier, habitué des plateaux télé, directeur d’un brumeux « Institut supérieur du travail » (IST). Lequel insiste sur« la mauvaise réputation »de la CGT. L’homme n’a rien d’un observateur impartial.

Ce catholique fondamentaliste, ancien dirigeant de la CFTC, qui siège au Conseil économique, social et environnemental, fut candidat suppléant apparenté Front National en 1978 dans le Puy-de-Dôme. Quant à l’institut qu’il dirige, il a été fondé en 1969 par Guy Lemonnier, alias Claude Harmel, un collaborationniste proche de Marcel Déat, arrêté à la Libération, révoqué de l’enseignement, condamné en mai 1947 à quatre années de prison et à la dégradation nationale à vie, avant son amnistie en 1951

. Dans son livre les Valets de la guerre froide. Comment la République a recyclé les collabos, Frédéric Charpier reconstitue la genèse de cette« officine patronale »créée au lendemain de mai 1968 et du vote de la loi sur la reconnaissance des sections syndicales, à la demande de Pierre Jouven, le PDG de Pechiney, pour former les cadres à l’action antisyndicale. Au passage l’affaire est juteuse, avec l’argent de la formation professionnelle qui coule alors à flots. Parmi les clients de l’IST figureront les fleurons de l’industrie française, et de jeunes nervis d’Occident, comme Alain Madelin, s’y recycleront. À défaut d’objectivité, France 2 serait bien inspirée de dire d’où parlent les « experts » dont elle sollicite l’avis.





3 mai 2021

Amazon triple ses profits en 2020 sur le dos de millions de travailleurs


 

C’est officiel, le géant de la vente en ligne a triplé son chiffre d’affaires sur l’année 2020 pour atteindre les 125,6 milliards de dollars. Par comparaison, cela correspond à environ 3 fois le budget alloué à l’éducation national, en France, en 2020. Ce chiffre vient contraster avec la réalité sociale de la crise sanitaire et économique qui fait plonger des millions de personnes dans l’extrême précarité. Aujourd’hui, ce n’est pas moins de 1 millions de personnes en France qui ont basculé dans la pauvret et qui viennent s’ajouter aux quelques 9,3 millions de personnes vivant déjà en dessous du seuil de pauvreté monétaire selon plusieurs associations caritatives.



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1er mai. Des milliers de manifestants en France, Macron joue la tension et la répression


Dans toute la France, des milliers de personnes ont marché pour la première manifestation du 1er mai depuis le début de l’épidémie. Ils ont fait face à une stratégie de la tension qui à Lyon, Nantes ou Paris a conduit à une violente répression contre les cortèges.



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Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...