21 janvier 2023

La Presse parle de l'Union Locale CGT de Coulommiers; Mouvement social : la lutte conte la réforme des retraites mobilise à Coulommiers


Les Seine-et-Marne opposés à la réforme des retraites défilaient, ce jeudi 19 janvier. A Coulommiers, les cars pour se rendre à la manifestation parisienne affichaient complets. 

« Hey, Luc ( Luc Perrin, secrétaire adjoint de l'UL CGT de Coulommiers), ils sont où les bus ? Il y aurait une petite place pour moi ? » : comme de nombreux manifestants retardataires réunis sous la Halle cours Gambetta, à Coulommiers, faute de train, celui-ci tente de trouver un siège pour se rendre à Paris, ce jeudi 19 janvier.


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Coulommiers : ces retraités qui disent non à la réforme


Des manifestants de tous âges contre la réforme des retraites se sont rassemblés à Coulommiers, ce jeudi 19 janvier. Parmi eux, des retraités solidaires des actifs. La réforme des retraites ? Ils pourraient s’en moquer et laisser la lutte aux actifs. Ils sont déjà retraités, certains depuis un bail, même. Et pourtant, ce jeudi 19 janvier, sous la halle de la cours Gambetta, dans le centre-ville de Coulommiers, un bon nombre d’entre eux se sont joints aux manifestants afin de crier leur opposition aux ambitions du gouvernement.








Ce qui change en janvier 2023



  Bouclier tarifaire sur les prix du gaz et de l'électricité prolongé en 2023 ; hausse du Smic ; évolution des critères d'un logement décent ; indemnité carburant pour les travailleurs modestes ; préservatifs gratuits en pharmacie pour les moins de 26 ans ; nouvelle carte familles nombreuses de la SNCF ; augmentation de l'indemnité forfaitaire de télétravail pour les agents publics.



Blocage du prix du gaz et de l'électricité pour l'habitat collectif en 2023


Face à la hausse du prix du gaz, le bouclier tarifaire sur le gaz est prolongé en 2023 pour les structures d’habitat collectif. La compensation est calculée sur la base des tarifs réglementés de vente (TRV) de gaz dont la hausse est limitée à +15 % en janvier 2023, par rapport aux niveaux de 2022.  L’aide correspond à celle dont bénéficient les particuliers ayant un contrat avec un fournisseur de gaz naturel.


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20 janvier 2023

 Chronologie : histoire des relations du travail depuis la loi Le Chapelier de 1791


La relation de travail est le lien légal entre les employeurs et les salariés. Elle existe quand une personne exerce une activité ou fournit des services sous certaines conditions et en échange d’une rémunération.
C’est à travers la relation de travail que des droits et des obligations réciproques se créent entre le salarié et l'employeur.


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 Chronologie du droit de grève en France de 1791 à nos jours


Conquis à la fin du XIXe siècle, le droit de grève est inscrit dans le Préambule de la Constitution de 1946. Cependant, deux principes contrebalancent ce droit : celui de la continuité du service public et celui de la protection de la santé et de la sécurité des personnes et des biens. C’est ainsi que le législateur est intervenu pour interdire le droit de grève à certaines catégories de fonctionnaires, pour le restreindre avec l’instauration d’un service minimum dans certains secteurs ou pour imposer une procédure préalable à son exercice dans le secteur public.


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Réforme des retraites : 2 millions de manifestants en France


Non, le système des retraites n’est pas en danger. Les Français ne s'y trompent pas. Pour financer de meilleures pensions et la retraite à 60 ans, les solutions existent. En augmentant les salaires, en créant des emplois, en mettant à contribution les dividendes, en assurant l’égalité salariale, en passant aux 32 heures.



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                        Melun le 20/01/23

 
19 janvier, une mobilisation qui en appelle d’autres !
 
La première journée d’action, de grève et de manifestations contre la réforme des retraites et pour la Retraite à 60 ans est un solide point d’appui pour aller plus loin !
 
En Seine et Marne 4 rassemblements qui ont rassemblé 2150 Manifestants (600 manifestants à Meaux, 250 à Coulommiers, 400 à Nemours et 900 à Melun). Soit 2150 manifestants pour le 77.



 
1400 manifestants de Seine-et-Marne à Paris le 19 janvier. 40 000 francilien ont battu le pavé parisien.


 Dans toute la France ce sont plus de 2 millions de personnes qui se sont mobilisées pour dire non à la retraite à 64 ans.
 
Un bon départ à ancrer dans les entreprises et amplifier
 
Construisons partout des actions et initiatives locales !
 
Rendez-vous dans la rue le 27 janvier à Coulommiers pour la marche aux flambeaux.
 
Construisons des AG de syndiqués, distributions de tracts, signatures de pétition !
 
Rendez-vous dans la rue le 31 janvier ! 
 
 
 
Recenser les grévistes :
 
La connaissance des taux de grévistes permet de mesurer le rapport de force exprimé, c’est un indicateur nécessaire pour mesurer l’impact des actions que nous menons !
 
Merci de communiquer les taux de grève (Nbre de grévistes/Nb de salariés Total ou Nbre de grévistes/Nb de salariés présents) à ud@cgt77.fr
 
Premiers retours : BASF Meaux 31 grévistes sur 110 salariés soit 28,1%
 
Enedis : IDF est 48% de grévistes sur l’effectif total – 54,6% de l’effectif présent.





Ce 19 janvier, partout sur le territoire, plus de deux millions de travailleuses et travailleurs, et de jeunes se sont mobilisé-es mis en grève et/ou ont manifesté, dans le public comme dans le privé, contre la réforme des retraites de ce gouvernement.

Cette réforme est inacceptable et va à l’encontre des intérêts de la population. Elle ne s'y trompe pas, puisque même avant d’être dans la rue plus de 600 000 personnes ont déjà signé la pétition intersyndicale.

 Les travailleuses et les travailleurs aspirent à partir à la retraite en bonne santé, et avec un niveau de retraite qui permette de vivre dignement. Le message est très clair : le gouvernement doit renoncer à la fois à l’âge de départ à la retraite à 64 ans et à l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisation. D'autres solutions existent, elles ont malheureusement été balayées d'un revers de main.

 L’ensemble des organisations syndicales réaffirme son opposition à la réforme et sa détermination à avoir un système de retraite juste, financé aussi par un autre partage des richesses. 

Afin de renforcer et d’inscrire dans la durée cette première mobilisation massive, les organisations syndicales appellent dès à présent à une journée de grève et de manifestation interprofessionnelle.

 L'intersyndicale invite la population à signer massivement la pétition, et appelle à multiplier les actions et initiatives partout sur le territoire, dans les entreprises et services, dans les lieux d'étude, y compris par la grève, notamment autour du 23 janvier, jour de la présentation de la loi au conseil des ministres.

 Elles appellent les salarié-e-s et les jeunes à préparer des assemblées générales pour discuter des poursuites de la mobilisation.

 Et alors que le gouvernement appelle les organisations syndicales à être responsables et à ne pas bloquer le pays, nous réaffirmons qu'il est et sera le seul responsable de cette situation puisque 9 travailleuses et travailleurs sur 10 rejettent cette réforme injuste et brutale.

 Nous sommes unis et déterminés à faire retirer ce projet de réforme des retraites, c’est pourquoi l’intersyndicale appelle à une nouvelle journée de grèves et de manifestations interprofessionnelles le 31 janvier. L’intersyndicale se réunira le soir même. 

 Paris le 19 janvier 202


 

19 janvier 2023

 Retraites : une réforme pour travailler plus et gagner moins ?! Quelle arnaque !


Une réforme injuste qui va précipiter la baisse des pensions

Seules 35 % des personnes de plus de 60 ans sont en emploi. Reporter l’âge de départ n’augmenterait pas l’emploi des seniors mais accélèrerait la chute du niveau des pensions déjà  sévèrement amputé par les précédentes réformes.

Pour un cadre du privé, sa pension totale représentait

  • 72 % du salaire de fin de carrière il y a 40 ans
  • contre 67 % aujourd’hui,
  • et 51 % dans 40 ans


La double-peine des femmes ingénieures, moins nombreuses et moins bien payées


Selon le dernier baromètre de l'Observatoire des femmes ingénieures, la situation des femmes dans l'ingénierie ne s'est guère améliorée en dix ans. L'écart de salaire avec les hommes y est même plus important que celui qui existe dans la population générale


De l'agroalimentaire à la robotique en passant par la chimie ou le BTP, les métiers de l'ingénierie ne cessent de s'enrichir. Et pourtant, lorsqu'il s'agit de diversité, les compteurs sont restés bloqués en 2012.

Depuis dix ans, la proportion de femmes ingénieures n'a pas bougé. Elles sont plus de 240.000 à exercer cette profession (soit 24 %), pour 757.000 hommes, selon le dernier baromètre de l'Observatoire des femmes ingénieures. Leur part est la plus élevée dans la tranche d'âge allant de 30 à 39 ans : 34,3 %, contre 29 % pour les moins de 30 ans. Les perspectives d'évolution ne sont pas franchement plus reluisantes. A l'heure actuelle, seulement 30 % des étudiants dans les écoles d'ingénieurs sont des jeunes femmes. Une répartition qui plafonne également depuis une petite dizaine d'années.

Les CDD sont deux fois plus nombreux

A l'image du reste de la société, les ingénieures sont moins bien payées que leurs collègues masculins. Le baromètre ainsi une différence très importante en la matière : le salaire brut médian annuel des hommes est de 58.900 euros, quand il est 50.100 euros chez les femmes, soit 18 % de moins (même si cet écart s'est réduit de trois points ces deux dernières années). C'est un manque à gagner plus important que celui qui existe dans la population générale. En effet, selon Eurostat, les Françaises gagnent en moyenne 15,8 % de moins que leurs homologues masculins.

En début de carrière, les salaires sont peu ou prou les mêmes. Comme dans tous les métiers, l'écart se creuse plus tard. Les femmes exercent moins de fonctions à responsabilités, et prennent des congés maternité. Elles travaillent aussi dans des secteurs moins rémunérateurs, comme l'agriculture, la sylviculture, l'eau et la dépollution. Les hommes, eux, sont prépondérants dans l'industrie, les activités tertiaires (hors sociétés de services), et les sociétés de services et édition de logiciel. Autre épine dans le pied : les CDD sont deux fois plus nombreux chez les femmes.

Au niveau moral, elles sont de moins en moins confiantes envers leur entreprise au fil de leur carrière professionnel : la part de femmes (très) inquiètes passe de 11 % à 19 % entre les moins de 30 ans et les 50-64 ans, montre l'étude. Il en est de même pour le désenchantement des femmes envers leur entreprise, bien que la majorité reste enthousiaste ou neutre, toutes générations confondues.

17 janvier 2023

L'énergie flambe, des foyers souffrent mais des actionnaires du secteur se goinfrent !


 Si on cherchait ensemble l'erreur et évoquions les remèdes possibles ? INDECOSA-CGT est engagée aux cotés des consommateurs et tout particulièrement des usagers de tous les secteurs de l’énergie. Les débats en cours sur la flambée du KWh électrique ne nous surprennent pas, voire sont irritants pour les acteurs que nous sommes, sur ses origines


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Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...