Le 10 juin à 12h00, Nicolas SGORLON, délégué syndical CGT de l’entreprise SODIFER SAS du centre LECLERC de la Ferté sous Jouarre, à été insulté, bousculé et provoqué par le PDG du magasin.
Cet acte intolérable, démonstration de la violence que subissent les salariés de cette branche professionnelle, a entraînée un arrêt de travail de huit jours.
Temps partiels subit, flexibilité des horaires, conditions de travail pénibles, salaires au rabais, déroulement de carrières nul, le patronat a tout intérêt a faire en sorte que rien ne change et la CGT, outil de revendication des salariés constitue un danger pour les actionnaires.
Dans l’attente d’une action devant l’entreprise, l’Union Locale CGT de Coulommiers et l’Union Départementale CGT 77 appellent les syndicats CGT de Seine et Marne exprimer leur solidarité par MOTION (exemple ci-joint).
Le droit syndical étant inscrit dans la constitution française, toutes les interpellations tant politiques que patronales seront utiles.
Aussi ENVOYEZ VOS MOTIONS (ou modèle ci-joint) de soutien :
Au MEDEF 77 : fax : 01.64.37.45.75
A la Préfecture : fax : 01.64.37.10.35
A l’UD (pour suivi) : fax : 01.64.14.26.81
A l’Employeur : Fax : 01 60 24 22 79
______________________________________
Direction de SODIFER
MEDEF
Monsieur le Préfet de Seine et Marne
MOTION
Les syndiqués CGT de l’entreprise……………………………….. apportent leur soutien au syndicat CGT SODIFER / LECLERC et à Nicolas SGORLON victime d’une agression sur son lieu de travail.
L’utilisation par le PDG, de la violence et de l’intimidation est intolérable et reflète la crainte de l’employeur que ne soit révélée la réalité des conditions de travail, les salaires pratiqués, le temps partiel subit, la flexibilité du travail…, autant de fissures dans la vitrine sociale de l’enseigne LECLERC.
NOUS APPORTONS NOTRE SOUTIEN AUX SALARIES QUI VOIENT EN LA CGT UN OUTIL POUR PLUS DE JUSTICE SOCIALE ET LES INVITONS A AGIR.
Nous exigeons du patronat :
L’arrêt des pressions sur les militants CGT
Le respect du droit syndical
Les syndiqués attendent des pouvoirs publics et des élus de la République, représentants de la constitution française, qu’ils interviennent afin de faire respecter le droit constitutionnel qu’est le droit syndical (art. 6 du préambule de la constitution de 1946).
Les syndicats CGT de Seine-et-Marne décideront de toutes les formes d’action et de solidarité nécessaires pour le respect des droits des salariés et la liberté de s’organiser en syndicat CGT.
Nom………………………..
Prénom…………………….
Fonction (SG, DS…)………
Signature et tampon du syndicat
ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
17 juin 2010
16 juin 2010
Fin de la grève des facteurs de Coulommiers
mercredi 16 juin 2010 - Secteur postal
La volonté de la Poste d'appliquer à Coulommiers sa nouvelle réorganisation supprimant 3 emplois le 22 juin a fini par être fortement contrariée par l'action des postières et postiers soutenus par la CGT FAPT 77 et SUD PTT 77. Cette réorganisation' ne sera mise en place que le 14 septembre. D'ici là, le personnel va pouvoir continuer de contester ce qui n'allait pas dans la mouture initiale.
En effet, la Poste a fini par accepter d'introduire les remarques des facteurs et de regarder si cela génère des aspects positifs en terme de bilan emploi. De plus deux mois après la mise en place (soit mi novembre), une nouvelle réunion sera organisée avec le personnel et les organisations syndicales pour apporter les correctifs nécessaires. La Poste envisage même dans ce schéma de transférer un emploi d'encadrement à la distribution-départ par la création d'un poste supplémentaire d'un facteur qualité en II-3 qui aurait une charge de courrier identifiée à assurer. Même si on ne peut pas parler de victoire totale, le conflit aura amené la Poste à modifier son discours initial qui était "on n'ouvrira aucune négociation sur l'emploi".
En effet, la Poste a fini par accepter d'introduire les remarques des facteurs et de regarder si cela génère des aspects positifs en terme de bilan emploi. De plus deux mois après la mise en place (soit mi novembre), une nouvelle réunion sera organisée avec le personnel et les organisations syndicales pour apporter les correctifs nécessaires. La Poste envisage même dans ce schéma de transférer un emploi d'encadrement à la distribution-départ par la création d'un poste supplémentaire d'un facteur qualité en II-3 qui aurait une charge de courrier identifiée à assurer. Même si on ne peut pas parler de victoire totale, le conflit aura amené la Poste à modifier son discours initial qui était "on n'ouvrira aucune négociation sur l'emploi".
15 juin 2010
Manifestation unitaire: CFDT, CFTC, CGT, FSU, Solidaires, UNSA LE 24 JUIN 2010 A PARIS
Une journée qui doit compter pour la défense de la retraite à 60 ans et garantir l’avenir de nos régimes de retraite.
Une politique active en faveur de l’emploi et contre la précarité :
Développer les services publics
Une politique salariale dynamique et de réduction des inégalités ;
Ensemble, imposons d’autres choix !
L'UL CGT de Coulommiers, met un bus à votre disposition
Départ à 12h00 En face du Crédit Agricole de Coulommiers
Réservez vos places
Alain Kerhleus : 06 18 85 64 71
Michel Bader : 06 31 53 89 33
Patrice Keck : 06 30 70 17 39
Patrick Arnould: 06 73 34 65 02
13 juin 2010
5ème jour de grève à Coulommiers Distribution : La Poste refuse de négocier!
La mobilisation est toujours bien là et très très majoritaire au bout de 5 jours de grève à Coulommiers PDC. Le soutien de la population ne faiblit pas non plus puisque ce sont 2306 signatures de soutien d'usagers qui ont été remises à la Direction de la Poste depuis le début du conflit. Mais la Poste continue de rester sourde et continue la provocation...La dernière en date a eu lieu ce matin au cours de la pseudo réunion de négociation d'aujourd'hui, 11 juin en fin de matinée. Une nouvelle fois la Poste a tenté d'expliquer au personnel qu'il y avait "un problème de méthode" et qu'elle était prête à écouter les éventuelles anomalies dans les différents bilans de tournée...en précisant que cela ne changera en rien le bilan emploi! En gros, la Poste dit aux grévistes : "on a peut-être faits des oublis, des erreurs, mais au final même si on fait les corrections, on vous supprimera bien 2 emplois à la distribution et 1 au départ!". Face à cette attitude méprisante, le personnel, les représentants CGT et SUD ont quitté la séance. la grève a été reconduite pour lundi matin. Manifestement, la Poste joue sur le pourrissement du conflit. L'heure est aussi maintenant à créer partout la solidarité financière. Saluons donc comme il se doit, le geste de l'Union Locale CGT de Coulommiers dont le secrétaire général est venu sur le piquet de grève remettre au nom de la CGT 200 €uros aux grévistes. Partout interpelons les collègues et organisons des quêtes pour permettre aux collègues de Coulommiers de poursuivre leur juste combat pour l'emploi et pour le service public. Une première intervention a été faite par le syndicat SUD cette semaine auprès de l'inspection du travail. Une deuxième intervention est faite dès aujourd'hui par la CGT FAPT en direction de cette même inspection du travail.
TRAVAILLER PLUS POUR GAGNER PLUS: UN PREMIER BILAN
Article de presse
On se souvient de ce slogan de campagne du candidat SARKOZY et de sa mise en œuvre par la loi TEPA « en faveur du travail, de l’emploi et du pouvoir d’achat » du 21 août 2007, défiscalisant le recours aux heures supplémentaires, autorisant le rachat des jours de RTT, etc. La DARES vient d’en dresser un premier bilan. Dur, dur ! « Une minorité d’entreprises employant 20% des salariés des secteurs concurrentiels ont augmenté leur recours aux heures supplémentaires ». « Le recours aux dispositifs de rachat de jours de congés a, pour sa part, été modeste ». Ces mesures n’ont pas davantage profité aux salariés à temps partiels qui forment l’essentiel des « travailleurs pauvres »: ils n’ont réalisé en moyenne que 17 heures complémentaires annuelles alors que la moyenne des heures supplémentaires pour les salariés à temps plein se situe à 49. Et l’explication fournie par l’étude ne surprendra pas nos lecteurs: « la très grande majorité des entreprises qui ont déclaré ne pas avoir augmenté leurs recours aux heures supplémentaires le justifient par un manque de dynamisme de leur activité. ». Il est une fois de plus démontré que la déréglementation, l’empilage des procédures dérogatoires et des exonérations fiscales n’ont pas la moindre vertu économique. A quand un bilan du volet « temps de travail » de la loi du 20 août 2008 ?
Patrick ARNOULD
Secrétaire de l’Union Locale CGT de Coulommiers
On se souvient de ce slogan de campagne du candidat SARKOZY et de sa mise en œuvre par la loi TEPA « en faveur du travail, de l’emploi et du pouvoir d’achat » du 21 août 2007, défiscalisant le recours aux heures supplémentaires, autorisant le rachat des jours de RTT, etc. La DARES vient d’en dresser un premier bilan. Dur, dur ! « Une minorité d’entreprises employant 20% des salariés des secteurs concurrentiels ont augmenté leur recours aux heures supplémentaires ». « Le recours aux dispositifs de rachat de jours de congés a, pour sa part, été modeste ». Ces mesures n’ont pas davantage profité aux salariés à temps partiels qui forment l’essentiel des « travailleurs pauvres »: ils n’ont réalisé en moyenne que 17 heures complémentaires annuelles alors que la moyenne des heures supplémentaires pour les salariés à temps plein se situe à 49. Et l’explication fournie par l’étude ne surprendra pas nos lecteurs: « la très grande majorité des entreprises qui ont déclaré ne pas avoir augmenté leurs recours aux heures supplémentaires le justifient par un manque de dynamisme de leur activité. ». Il est une fois de plus démontré que la déréglementation, l’empilage des procédures dérogatoires et des exonérations fiscales n’ont pas la moindre vertu économique. A quand un bilan du volet « temps de travail » de la loi du 20 août 2008 ?
Patrick ARNOULD
Secrétaire de l’Union Locale CGT de Coulommiers
11 juin 2010
Syndicalisme
Jean-François Copé et les parlementaires UMP partent en guerre contre le syndicalisme
Dans combien de discours, dans combien de déclarations, le Président du groupe UMP à l’Assemblée nationale s’est gargarisé du culte du « dialogue social » ? L’examen du complément législatif de la loi fondant la représentativité des organisations syndicales sur le vote des salariés pouvait lui donner l’occasion de passer du discours aux actes. C’est visiblement trop demander à cet élu de la Nation, qui préfère se faire le porte-voix fidèle des organisations patronales pour mieux se marquer à droite.
La mise en place de commissions paritaires régionales pour les salariés des très petites entreprises, qui ne disposent aujourd’hui d’aucune représentation collective, pourrait selon lui « donner le sentiment qu’est introduite, de manière indirecte, une présence syndicale dans les TPE ». Il annonce donc que son groupe va amender le projet de loi déposé au parlement pour supprimer la référence à de telles commissions.
Pourtant le gouvernement s’était déjà interdit d’en envisager la mise en place généralisée, reniant ainsi l’engagement pris dans la loi du 20 août 2008. Le groupe UMP du Sénat avait de plus supprimé la possibilité de les décentraliser à un niveau territorial plus proche des salariés que la région et interdit aux élus de contacter les salariés dans les entreprises. L’amendement Copé reviendrait maintenant à supprimer la protection légale des élus contre le licenciement dans l’éventualité où une commission paritaire serait installée par la voix de la négociation, comme cela peut être le cas dans l’artisanat.
En se partageant les rôles, le gouvernement, Jean-François Copé et l’UMP font le choix de combattre le syndicalisme. Ils relaient la campagne éhontée menée par le MEDEF et la CGPME, déclarant ouvertement la présence syndicale comme un danger à conjurer. Ainsi l’UMP et le patronat mêlent leurs voix et leurs actions pour nier l’exercice d’une liberté constitutionnelle fondamentale : « Tout homme peut défendre ses droits et ses intérêts par l’action syndicale et adhérer au syndicat de son choix. »
La CGT interpellera les parlementaires pour qu’ils renoncent aux interdits qu’ils entendent opposer au syndicalisme. Elle poursuivra, dans une démarche unitaire la plus large, l’action pour la reconnaissance des droits sociaux et démocratiques des salariés des très petites entreprises.
Dans combien de discours, dans combien de déclarations, le Président du groupe UMP à l’Assemblée nationale s’est gargarisé du culte du « dialogue social » ? L’examen du complément législatif de la loi fondant la représentativité des organisations syndicales sur le vote des salariés pouvait lui donner l’occasion de passer du discours aux actes. C’est visiblement trop demander à cet élu de la Nation, qui préfère se faire le porte-voix fidèle des organisations patronales pour mieux se marquer à droite.
La mise en place de commissions paritaires régionales pour les salariés des très petites entreprises, qui ne disposent aujourd’hui d’aucune représentation collective, pourrait selon lui « donner le sentiment qu’est introduite, de manière indirecte, une présence syndicale dans les TPE ». Il annonce donc que son groupe va amender le projet de loi déposé au parlement pour supprimer la référence à de telles commissions.
Pourtant le gouvernement s’était déjà interdit d’en envisager la mise en place généralisée, reniant ainsi l’engagement pris dans la loi du 20 août 2008. Le groupe UMP du Sénat avait de plus supprimé la possibilité de les décentraliser à un niveau territorial plus proche des salariés que la région et interdit aux élus de contacter les salariés dans les entreprises. L’amendement Copé reviendrait maintenant à supprimer la protection légale des élus contre le licenciement dans l’éventualité où une commission paritaire serait installée par la voix de la négociation, comme cela peut être le cas dans l’artisanat.
En se partageant les rôles, le gouvernement, Jean-François Copé et l’UMP font le choix de combattre le syndicalisme. Ils relaient la campagne éhontée menée par le MEDEF et la CGPME, déclarant ouvertement la présence syndicale comme un danger à conjurer. Ainsi l’UMP et le patronat mêlent leurs voix et leurs actions pour nier l’exercice d’une liberté constitutionnelle fondamentale : « Tout homme peut défendre ses droits et ses intérêts par l’action syndicale et adhérer au syndicat de son choix. »
La CGT interpellera les parlementaires pour qu’ils renoncent aux interdits qu’ils entendent opposer au syndicalisme. Elle poursuivra, dans une démarche unitaire la plus large, l’action pour la reconnaissance des droits sociaux et démocratiques des salariés des très petites entreprises.
9 juin 2010
Mobilisation des Postiers le 9 juin 2010
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Manifestation dans les rues de Coulommiers du personnel du secteur postal, Contre, toute suppression d'emploi synonyme d'aggravation des conditions de travail et de vie privée.
Un personnel motivé pour gagner et d'autant plus motivé que le soutien de la population est là, en grand! déjà plus de 1000 signatures recueillies par les postiers auprès de la population,
Soutien aussi, sans faille, de la part des organisations SUD PTT 77 et CGT Fapt 77. Mais aussi soutien,de la CGT, venus apporter leur soutien aux grévistes, des camarades de l'Union Locale CGT de Coulommiers, des camarades CGT des territoriaux de Seine et Marne, des camarades de la CGT FAPT de Seine et Marne.
Imprimerie Brodard Graphique de Coulommiers Deux repreneurs en lice
Le Tribunal de Commerce de Meaux a reporté au 5 juillet sa décision quant à la cession de cette filiale du groupe Maury en redressement judiciaire.
Selon nos information, les 164 salariés de l'imprimerie Brodard Graphique devront donc encore patienter pour connaître l'identité de leur futur patron, si son plan de reprise est d'ailleurs accepté par la juridiction consulaire.
Une juridiction consulaire qui devra départager les dossiers présentés par Circle Printers et par le groupe de presse italien Mondadori (Berlusconi), par ailleurs éditeur de nombreux magazines grand public dans l'hexagone (Grazia, Autoplus...).
La "solution italienne" aurait l'avantage de pouvoir rapatrier en France des titres en grande partie imprimés en Italie, tout en adossant l'imprimerie à une structure pérenne, de toute première importance.
2 juin 2010
LE SECTEUR POSTAL DE COULOMMIERS EN GREVE
APPEL A LA SOLIDARITE...PRESENCE INDISPENSABLE
Nos camarades de la distribution postale sur la zone industrielle de Coulommiers rue Salomon de Brosse, ont besoin de soutien dans leur mouvement de grève.
L'union locale CGT de Coulommiers vous propose d'aller à leur encontre à partir de lundi matin sur leur lieu de travail.
Après avoir lu l'avis ci-dessous, faites passer ce message SVP à votre entourage.
Merci
Patrick Arnould
Secrétaire de l'union locale CGT de Coulommiers
Coulommiers Distribution : ils ont voté la grève.
Ce matin, 31 mai 2010, l'ensemble des agents de Coulommiers CDIS (courrier, colis, cabine) a voté massivement la grève illimitée à compter du 7 juin. Il faut dire que dans la "première vague" de réorganisation, 4 tournées avaient été supprimées. Cette fois-ci, ce sont trois nouveaux emplois que la Poste veut supprimer (2 à la distribution, 1 au service arrière)
Alors trop c'est trop. Après échange local avec les syndicats CGT FAPT 77 et SUD PTT 77, elles et ils ont voté contre la restructuration, contre les suppressions d'emploi. Voir en pièce jointe, ci dessous, le préavis local.
La Poste, et tout particulièrement au Courrier, veut supprimer massivement des emplois (150 à la distribution prévus en 2010 sur notre département). Soit on subit, soit on se bat! C'est la deuxième solution qu'ont adoptée les collègues de Coulommiers. Pour la CGT, elles et ils ont fait le bon choix. Choix que la CGT est d'ores et déjà prête à soutenir dans chaque service où le personnel refusera toute suppression d'emploi synonyme d'aggravation des conditions de travail et de vie privée.
Les camarades de l'UL CGT de Coulommiers soutiennent les Postiers en gréve,
Venez soutenir leurs luttes,le lundi 7 juin 2010 de 8h30 à 12h00
Rue SALOMON de BROSSE 77120 Coulommiers
Nos camarades de la distribution postale sur la zone industrielle de Coulommiers rue Salomon de Brosse, ont besoin de soutien dans leur mouvement de grève.
L'union locale CGT de Coulommiers vous propose d'aller à leur encontre à partir de lundi matin sur leur lieu de travail.
Après avoir lu l'avis ci-dessous, faites passer ce message SVP à votre entourage.
Merci
Patrick Arnould
Secrétaire de l'union locale CGT de Coulommiers
Coulommiers Distribution : ils ont voté la grève.
Ce matin, 31 mai 2010, l'ensemble des agents de Coulommiers CDIS (courrier, colis, cabine) a voté massivement la grève illimitée à compter du 7 juin. Il faut dire que dans la "première vague" de réorganisation, 4 tournées avaient été supprimées. Cette fois-ci, ce sont trois nouveaux emplois que la Poste veut supprimer (2 à la distribution, 1 au service arrière)
Alors trop c'est trop. Après échange local avec les syndicats CGT FAPT 77 et SUD PTT 77, elles et ils ont voté contre la restructuration, contre les suppressions d'emploi. Voir en pièce jointe, ci dessous, le préavis local.
La Poste, et tout particulièrement au Courrier, veut supprimer massivement des emplois (150 à la distribution prévus en 2010 sur notre département). Soit on subit, soit on se bat! C'est la deuxième solution qu'ont adoptée les collègues de Coulommiers. Pour la CGT, elles et ils ont fait le bon choix. Choix que la CGT est d'ores et déjà prête à soutenir dans chaque service où le personnel refusera toute suppression d'emploi synonyme d'aggravation des conditions de travail et de vie privée.
Les camarades de l'UL CGT de Coulommiers soutiennent les Postiers en gréve,
Venez soutenir leurs luttes,le lundi 7 juin 2010 de 8h30 à 12h00
Rue SALOMON de BROSSE 77120 Coulommiers
16 mai 2010
Licenciement abusif chez Leclerc à La Ferté-sous-Jouarre
Signez la pétition en ligne pour la Réintégration de Leslie licenciée et enceinte :
L' Union Locale de Coulommiers et tous les camardes de la C.G.T. soutiennent Leslie pour sa Réintégration, avec la participation du collectif de soutien.
La direction du magasin E. Leclerc de La Ferté-sous-Jouarre, vient de licencier une salariée sans même qu’il y ait la présence de celle-ci à l’entretien préalable. Cette salariée enceinte de surcroît, est alitée chez elle à cause de sa grossesse à risque et ne peut se déplacer.
Cette salariée était pressentit sur les prochaine liste des élections professionnelles de l'entreprise Sodifer, magasin adhérant E. Leclerc.
Il est intolérable que la direction bafoue les droits des femmes et le droit syndical.
Au delà de ça, les pratiques de la grande distribution et du mouvement E. Leclerc sont ici apparentées çà d'anciennes lois féodales qui étaient révolues.....mais semble t-il pas!!!
Ne laissons pas faire ces méthodes d'un temps passé.....
Agissons massivement pour demander la réintégration immédiate de Leslie et ceci sans procédures ultérieures.
Soutenez Leslie,
Ce n'est pas FINI !!!
Signez pour la réintégration de Leslie !!!!
Femmes, Enfants, Grands Parents, Amis, Connaissances, Relations, Voisins,
Tous et Toutes POUR SOUTENIR LESLIE !!!!!
REINTEGRATION SUR LE CHAMP !!!!!
AGISSEZ! FAITES REAGIR TOUT LE MONDE !!
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