11 juillet 2011

La Poste, Coulommiers Enseigne : ce sera la grève!



Info CGT

Même si la réunion de négociation du (04-07-11) a amené la Poste à prendre quelques engagements :

- maintien d’une même intérimaire (ancienne guichetière) jusqu’au 31-12-11 pour palier à un départ en retraite

- passage en « bureau prioritaire » pour combler les absences inopinées

- différents travaux (de climatisation, d’occultation de baies vitrées)

- amélioration des conditions de travail pour que les agents faisant les positions « Accueil » et « Boutique » ne reste pas plus de 4 heures debout.

- prise en compte à venir de la santé au travail (tant physique que psychologique) pour le personnel.

Le personnel n’est pour autant pas plus rassuré que cela, en particulier, en ce qui concerne la future réorganisation prévue en 2012…

La Poste, Coulommiers Enseigne : ce sera la grève!



Info CGT

Même si la réunion de négociation du (04-07-11) a amené la Poste à prendre quelques engagements :

- maintien d’une même intérimaire (ancienne guichetière) jusqu’au 31-12-11 pour palier à un départ en retraite

- passage en « bureau prioritaire » pour combler les absences inopinées

- différents travaux (de climatisation, d’occultation de baies vitrées)

- amélioration des conditions de travail pour que les agents faisant les positions « Accueil » et « Boutique » ne reste pas plus de 4 heures debout.

- prise en compte à venir de la santé au travail (tant physique que psychologique) pour le personnel.

Le personnel n’est pour autant pas plus rassuré que cela, en particulier, en ce qui concerne la future réorganisation prévue en 2012…

9 juillet 2011

L’accès aux prud’hommes doit rester gratuit
























Info, UD CGT 77

Après avoir rendu obligatoire, l’assistance par un avocat spécialisé (entre 3.000 et 5.000 €) lors des pourvois en Cour de Cassation, ce qui a eu pour effet d’abaisser de 30% le nombre des recours, nos « chers députés » viennent d’adopter le projet de loi de finances rectificative qui prévoit dans son article 20 : « une contribution pour l’aide juridique de 35 € est perçue par instance introduite en matière civile, commerciale, prud’homale, sociale ou rurale devant une juridiction judiciaire, ou par instance introduite devant une juridiction administrative. »

La volonté du gouvernement de réduire le contentieux prud’homal par tous les moyens, et ainsi priver les salariés de la possibilité de faire valoir leurs droits, rejoint la volonté patronale de tout faire pour éviter d’être condamné, alors que les licenciements, les non-paiements de salaires et autre délinquances patronales continuent de frapper des milliers de salariés.

Les Conseils de prud’hommes ont avant tout besoin de moyens en personnel et en budget pour répondre aux demandes de justice des salariés face à un patronat qui s’exonère du respect des droits les plus élémentaires.

Le pire, c’est que le timbre fiscal de 35 € qu’il faudra donner pour déposer un recours, n’ira même pas au financement des tribunaux, mais devrait servir à financer les avocats intervenant au titre de l’aide juridique dans le cadre de la réforme de la garde à vue !

La CGT considère que la remise en cause de la gratuité de la procédure en matière prud’homale revient, pour celles et ceux, qui, dans une large majorité sont privés de leurs emplois et d’un revenu décent, à s’acquitter d’une taxe pour obtenir la réparation d’un préjudice que leur a fait subir leur employeur.

Comment accepter qu’un salarié qui n’est pas rémunéré soit obligé de payer pour obtenir ses salaires, qu’il paye pour faire annuler une sanction abusive ou obtenir des documents obligatoires (fiche de paie, attestation de salaire, certificat de travail, etc.).

Cette mesure est contraire à l’article 6 de la convention européenne des droits de l’homme qui édicte le principe d’égal accès à la justice pour tous. La CGT exige le retrait de cette disposition.

Elle agira par tous les moyens pour y parvenir.

MELUN, le 1er juillet 2011


PS : « C'est tout à fait scandaleux. Il faudra payer une taxe pour pouvoir saisir la justice ! Il s'agit de réintroduire les frais de justice pourtant supprimés il y a des dizaines d'années. »

Il s'agit d'une disposition antisociale et injuste

6 juillet 2011

Union départementale CGT de Seine et Marne

UN ETE DE DEBAT POUR UNE RENTREE DE COMBAT !
Suite dans le journal de l'UD
Cliquez sur le lien ci-dessous


UD CGT 77. FLASH INFOS N° 36-11



1er juillet : tout augmente, même l’âge légal de départ en retraite !

Aujourd’hui 1er juillet, entre en vigueur la nouvelle loi sur les retraites et donc de facto le recul de l’âge légal de départ.

Il semble nécessaire que partout dans les entreprises, la CGT exprime soit par tract (possibilité d’imprimer la déclaration confédérale ci-jointe), soit par voix d’affichage son refus d’un recul social sans précédent.

De plus la CGT, la CFE-CGC et l’Union de Familles d’Europe ont pris la décision d’attaquer en justice l’accord Agirc-Arrco du 18 mars (accord signé par CFDT, CFTC, FO, UPA et Medef) en visant certaines dispositions de l’accord comme les droits familiaux.

La mobilisation que ce soit sur les salaires comme sur le pouvoir d’achat en général, l’emploi ou la protection sociale est donc toujours d’actualité.

Revendiquez un autre partage des richesses créées par les salariés est le moteur de bon nombre de mobilisation dans les entreprises partout en France.

Le chômage poursuit son ascension, comme le prix de l’énergie, des loyers, des transports, des produits de première nécessité….

Oui, il est possible de sortir du cercle de la fatalité.

Débattre avec les salariés, proposer l’action, ne pas laisser s’installer un attentisme ou l’expression d’une fatalité, alors à nos plans de travail !

Dans les ULS, les unions syndicales faisons connaître et partager les initiatives et actions prévues ou en cours.

Pour rappel une NVO spécial retraite est en vente (quelques exemplaires sont disponible à l’UD) comportant des argumentaires et tout ce qui change à partir d’aujourd’hui.


Valérie LESAGE .Secrétaire Générale de l'UD CGT77

Melun, le 1er juillet 2011

4 juillet 2011

Allongement de la durée de cotisations retraite



On ne peut plus continuer ainsi

A peine la mauvaise réforme de 2010 entrée en vigueur, plusieurs articles de presse annoncent que le gouvernement s’apprêterait, en se retranchant derrière un « avis technique » du COR purement formel, à allonger de nouveau d’un trimestre la durée de cotisations requise pour l’obtention du taux plein. Celle-ci passerait de 165 à 166 trimestres pour la génération 1955.

Rappelons que la CGT avait dénoncé et combattu en 2003 l’allongement de la durée de cotisations, mesure phare de la loi Fillon. Elle avait également dénoncé le caractère technocratique de cette disposition qui repose sur un obscur calcul à partir de l’évolution de l’espérance de vie.

L’opposition vigoureuse de la CGT qui demeure, tient au fait que cette mesure pénalise notamment les salariés ayant effectué des carrières courtes et/ou ceux qui ont travaillé à temps partiel. Sont concernées au premier chef les femmes et tous ceux qui ont été affectés par la montée du chômage et de la précarité.

Bien entendu, ce nouvel allongement renforcerait encore cette injustice, les générations qui arrivent maintenant à l’âge de la retraite ayant été concernées par la dégradation de la situation de l’emploi apparue dans les années 70, ainsi que par une entrée plus tardive dans la vie active du fait d’études plus longues.

Ce nouvel allongement serait d’autant plus insupportable que l’application de la loi de 2010 commence à produire ses effets dévastateurs, en particulier sur les salariés déjà touchés par le chômage et qui se voient privés de l’AER (allocation équivalent retraite) et donc condamnés à survivre avec les seuls minima sociaux.
Cette mesure n’a même plus sa justification initiale, à savoir un maintien du rapport entre temps d’activité et temps de retraite, puisque c’est maintenant le report de l’âge qui va jouer cette fonction.

A l’évidence, le véritable objectif de l’allongement reste une baisse généralisée des pensions de retraites. La nécessité d’une autre réforme des retraites, portée par la CGT, condamne par avance un nouvel allongement de la durée de cotisations. Une telle décision ne manquerait pas de provoquer un mouvement d’ampleur.
Comme elle l’a déjà annoncé la CGT, la bataille des retraites n’est pas terminée.

Montreuil, le 4 juillet 2011

Pouvoir d’achat Tout augmente ;…SAUF LES SALAIRES , ça suffit !



INFO CGT

Alors que la flambée des prix rend la vie pour des millions de salariés, retraités, privés d’emplois, de plus en plus difficile. Dans le même temps, des centaines de millions d’euros sont offerts au grand patronat.

Ensemble, revendiquons une autre répartition des richesses.

Exigeons 300 €uros d’augmentation immédiate pour tous.

Augmentation générale des salaires, des pensions, des revenus de remplacement, avec un SMIC à 1700 €uros.

Gel des loyers et blocage des prix de l’énergie.

Baisse de la TIPP de façon significative.

Blocage des prix de première nécessité.

Pour voir la vidéo cliquez sur lien ci-dessous
http://www.cgt.fr/Tout-augmente-sauf-les-salaires.html

LA VOIX DE LA CGT VA-T-ELLE ETRE EXCLUE DURABLEMENT DE NOMBREUX MEDIAS ?

info CGT

A trois reprises en 48 heures, des rendez-vous média sollicitant la présence de Bernard THIBAULT, Secrétaire général de la CGT, ont été annulés pour des motifs divers :

1) Un entretien avec les correspondants de la presse régionale à Paris a été reporté,

2) Une intervention hier comme invité du jour en direct à 18h15 sur une radio nationale a été annulée .

3) Ce matin, une interview en direct sur une chaîne d’information a été également annulée.

Au vu de ces épisodes, la CGT est fondée à se poser la question : les rédactions vont-elles délibérément reléguer la voix de la CGT au dernier plan alors que le mécontentement social est une caractéristique importante de la période ?
Le chômage et la précarité progressent, la mauvaise réforme des retraites entre en application, le SMIC n’est pas revalorisé alors qu’une série de hausses de tarifs va porter un nouveau coup au pouvoir d’achat, l’austérité se généralise partout en Europe, la CGT entend prendre ses responsabilités en proposant une action interprofessionnelle d’action fin septembre, début octobre.
Voilà autant de sujets qui mériteraient d’être traités pour la crédibilité de l’information dans notre pays.

Montreuil, le 1er juillet 2011

3 juillet 2011

Retraite complémentaire des salariés















Ce qui change

Au 1er juillet, Les régimes de retraites complémentaires Arrco et Agirc changent. Ils s'adaptent aux nouvelles conditions d'âge de départ à la retraite... mais pas seulement !
• L'âge des complémentaires est modifié
Si vous êtes né avant le 1er juillet 1951, vous avez droit, en principe, à vos retraites complémentaires sans abattement à 65 ans (1).

Au 1er juillet 2011, l'âge auquel vous pourrez demander votre retraite complémentaire sans abattement passe à :
65 ans et 4 mois si vous êtes né au second semestre 1951
65 ans et 8 mois pour les natifs de 1952
66 ans pour ceux de 1953
66 ans et 4 mois pour ceux de 1954
66 ans et 8 mois pour ceux de 1955
67 ans pour ceux nés à partir de 1956.

(1) : accord du 18 mars 2011 sur les retraites complémentaires Agirc-Arrco.

(1) • Vos complémentaires sans abattement avant 65 ans, c'est possible
Vous avez droit à votre retraite de base à taux plein
Vous pouvez toucher vos complémentaires sans abattement. À une double condition : avoir l'âge et le nombre de trimestres requis (voir tableau). C'est aussi le cas dans le cadre des dispositifs de départ anticipé : carrière longue, travailleurs handicapés, pénibilité, préretraite amiante.

Vous souhaitez prendre votre retraite, même si vous n'avez pas droit au taux plein
Vos complémentaires subiront un abattement fixé soit en fonction de l'âge auquel vous prenez votre retraite, soit à partir du nombre de trimestres manquants pour avoir le taux plein.
Exemple : vous avez l'âge minimum requis mais il vous manque 20 trimestres pour avoir le taux plein, l'abattement est de 22 %.

• Les majorations sont harmonisées
À partir de 2012, si vous prenez votre retraite avec un ou des enfants à charge, vos complémentaires Arrco et Agirc seront majorées de 5 % par enfant tant qu'il restera à charge.

Dans les deux régimes, une majoration de 10 % (non cumulable avec la précédente) sera accordée si vous avez eu ou élevé au moins trois enfants. Elle s'appliquera sur la partie de retraite acquise après le 31 décembre 2011. Pour la carrière antérieure, l'ancien dispositif s'applique : majoration de 5 % à l'Arrco et entre 8 % et 24 % à l'Agirc selon le nombre d'enfants. Ces majorations sont plafonnées à 1 000 € par an à l'Arrco ; il en est de même à l'Agirc


Les régimes de retraites complémentaires Agirc-Arrco des salariés du privé ont enregistré en 2010 un déficit global de plus de 350 millions d'euros, selon des résultats présentés mercredi 29 juin.

L'Arrco, régime de retraite complémentaire des salariés, a enregistré un résultat global excédentaire de 355 millions d'euros. Ce résultat global est obtenu après prise en compte d'un transfert financier vers l'Agirc (régime complémentaire des cadres) et des produits financiers du régime (plus de 1,5 milliard d'euros).

En ne tenant pas compte de ces transferts, le résultat de l'Arrco est déficitaire de 139 millions d'euros (contre un excédent de 900 millions d'euros en 2009). Cette dégradation est liée à une progression des dépenses du régime plus rapide que celle de ses ressources.

L'Agirc a de son côté enregistré un déficit global de 709 millions d'euros. Mais en ne tenant pas compte des transferts financiers en provenance de l'Arrco et des produits financiers du régime, le déficit enregistré par l'Agirc apparaît bien plus élevé, à 2,52 milliards d'euros en 2010 (contre 2,03 milliards en 2009).

Au total, le résultat global (après différents transferts) de l'ensemble Agirc-Arrco est donc déficitaire de plus de 350 millions d'euros en 2010.

Les partenaires sociaux, qui assurent conjointement la gestion de l'Agirc-Arrco, ont signé un accord en mars dernier pour tenter de limiter le creusement prévu de ces déficits dans les prochaines années.

Ce texte (que la CGT et la CFE-CGC ont refusé de signer) a notamment aligné les bornes d'âge des régimes complémentaires sur celles du régime de base après la réforme de novembre 2010 (reculs progressifs de l'âge légal de départ à 62 ans et de l'âge du taux plein à 67 ans à partir du 1er juillet 2011).

Il a aussi baissé le rendement du régime des cadres (ce que rapporte en termes de pension les sommes cotisées) et prévu que les rendements des deux régimes, en chute ces dernières années, seraient stabilisés jusqu'en 2015.

L'accord a aussi revu à la baisse les majorations de pension pour les familles nombreuses à l'Agirc et introduit un plafond de 1 000 euros par an pour ces majorations dans les deux régimes.

Pas de permanence lundi 30 septembre 2024 !

 Attention, en l'absence de camarade pour tenir notre permanence du lundi, l'Union locale CGT de Coulommiers et ses environs sera fe...