ATTENTION ! changement du jour pour les permanences d'accueil : le LUNDI de 14h à 17 h. 10 bis rue de l'aître Espace La Fayette 77120 COULOMMIERS (interphone CGT) Email : ulcgtcoulommiers77@orange.fr Téléphone : 01 64 03 54 85 ou 06 73 34 65 02
6 août 2011
Inspecteurs du travail agressés: la CGT indignée, Bertrand veut des suites
Info CGT
La C G T a tiré la sonnette d'alarme jeudi sur la situation des inspecteurs du travail, après deux agressions survenues fin juillet, tandis que le ministre du Travail Xavier Bertrand réclamait de son côté des suites judiciaires.
Les agressions sont intervenues à intervalles rapprochés, l'une dans le Maine-et-Loire le 26 juillet dans une exploitation agricole et l'autre le 28 juillet dans une PME des Ardennes. Des inspecteurs du travail "sont de nouveau victimes d'agressions graves" et ont été "menacés de mort, insultés, séquestrés et leur véhicule de fonction vandalisé", a indiqué la CGT dans un communiqué qui déplore "le parfait silence du patronat".
"Dans l'entreprise viticole, les inspecteurs ont été menacés avec un couteau, avec un berger allemand et séquestrés avec un couteau", a expliqué à l'AFP Meïssa Allal de la confédération CGT. Le ministre du Travail a pour sa part demandé aux unités territoriales concernées de "s'assurer personnellement que les contacts les plus efficaces soient pris avec les parquets", dans un courrier dont l'AFP a eu copie.
Apportant "tout son soutien aux agents de l'Etat victimes de ces agressions", M. Bertrand précise avoir alerté ses collègues de l'Intérieur et de la Justice sur "ces situations graves" Le secteur viticole, où l'on trouve "beaucoup d'activités dissimulées", est particulièrement concerné, a souligné Mme Allal, en rappelant le drame de Saussigniac (Dordogne) où deux inspecteurs du travail avaient été tués par un viticulteur en 2004. "Cette violence naît de la volonté de ces employeurs de détourner la loi.
S'ils étaient en conformité, ils n'auraient pas besoin de faire une démonstration de force", a affirmé la syndicaliste.
Motion de soutien : NON à la casse de l’inspection du travail en Haute-Garonne (et ailleurs !)
http://cgtdrtefpmidipy.wordpress.com/non-a-la-casse-de-linspection-du-travail/
Les surfaces des agences Pôle emploi réduites de 10%. Vers des agences "boites de sardines"
info CGT
Pôle emploi réduit la taille de ses agences
Le conseil d'administration de l'opérateur public vient d'adopter des mesures d'« optimisation » du référentiel immobilier, qui déboucheront sur une baisse de plus de 10 % de la taille des nouvelles implantations. FO, la CGT et le SNU-FSU s'insurgent
Les agents de Pôle emploi vont devoir se serrer. Alors que la remontée du chômage maintient la pression sur le service public de l'emploi, le conseil d'administration a examiné le mois dernier des mesures d' « optimisation » du référentiel immobilier », qui correspondent à une baisse de plus de 10 % de la surface des agences. Ces règles s'appliqueront à tous les nouveaux projets, qui sont nombreux dans la foulée de la réorganisation du réseau des ex-ANPE et Assedic. Selon le récent rapport du Conseil économique, social et environnemental, sur les 907 « sites mixtes » recensés en mai 2010, seuls 138 « semblent pouvoir être considérés comme pérennes » et s'inscrire dans le schéma d'implantation cible adopté l'an dernier. En Ile-de-France par exemple, la direction prévoit 36 déploiements de sites par an jusqu'en 2013 au moins.
Dans ces nouvelles agences, la taille des bureaux de direction et celle des espaces détente pour les agents sera réduite, tout comme les locaux techniques. De même, le ratio poste de travail-agent va être revu à la baisse : jusqu'ici égal voire supérieur à 1 (chaque salarié dispose d'un emplacement dédié), il sera à l'avenir ramené à entre 0,84 et 0,95 selon les tailles d'agence, en tenant compte du fait qu'avec les divers motifs d'absence (congés, formation), le taux de présence moyen n'est jamais de 100 %. Il s'agit là du retour d'un principe d'organisation un temps adopté par l'ANPE. Pour la direction, le taux d'équipement restera toujours supérieur au taux de présence moyen. Les salles de réunion seront redimensionnées elles aussi en fonction du nombre d'agents présents en moyenne, et non plus de l'effectif total.
60.000 mètres carrés en moins ; L'espace d'accueil des chômeurs devrait échapper au couperet, mais l'espace de transition, sorte de sas d'attente avant les rendez-vous avec les conseillers, sera supprimé. Ces dispositions devraient ramener la surface moyenne par agent (SHON) de 34,93 à 30,51 m 2 dans les plus petites agences, et de 24,66 à 21,5 m 2 dans les plus grandes (70 agents). Objectif affiché : réduire à terme la surface occupée de 60.000 mètres carrés. Pôle emploi a obtenu, pour 2012 tout au moins, le maintien de ses effectifs, mais il doit tout de même dégager des économies comme les autres opérateurs publics
Selon FO, qui a voté contre le nouveau référentiel avec la CGT lors du conseil d'administration, chaque agence devrait perdre en moyenne 100 mètres carrés. Dans une lettre ouverte au directeur général, Christian Charpy, le syndicat dénonce une « hémorragie des moyens de fonctionner ». Le SNU-FSU (non présent au conseil) estime que ces économies vont affecter la productivité des agents. La CFDT, la CFTC et la CGC se sont abstenues.
5 août 2011
Pôle emploi condamné aux Prud'hommes dans 1254 nouveaux dossiers
info CGT
Le Conseil de Prud'hommes de Paris, section activités diverses, a condamné de nouveau POLE EMPLOI à payer 500 euros de dommages et intérêts et le remboursement des frais d'avocat dans 1 254 dossiers.(Audience du 1er août, jugement du 2 août 2011)
Voir le site qui suit cette affaire: www.cotisationsexassedic.blogspot.com/
Le Conseil de Prud'hommes de Paris, section activités diverses, a condamné de nouveau POLE EMPLOI à payer 500 euros de dommages et intérêts et le remboursement des frais d'avocat dans 1 254 dossiers.(Audience du 1er août, jugement du 2 août 2011)
Voir le site qui suit cette affaire: www.cotisationsexassedic.blogspot.com/
4 août 2011
Inquiétude dans l’activité billets d'Arjo Wiggins de Jouy sur Morin
SYNDICAT CGT Arjo Wiggins Security
USINE DE CREVECOEUR DE JOUY SUR MORIN
Le 03 août 2011
Bien que les machines tournent cet été, le carnet de commande est désespérément vide à la rentrée à Crèvecoeur. AWS a perdu deux gros appels d’offre coup sur coup, du fait que nos prix de vente étaient trop élevés. Comme nos concurrents n’ont rien à se mettre sous la dent, la guerre des prix est déclarée ; ceux qui ont les reins solides survivront, les autres crèveront… Une réalité horrible à dire… Aujourd’hui, les papeteries ferment à tour de bras, y compris dans notre activité.
AWS a des atouts pour passer ce cap, mais il faut que nos dirigeants aient la volonté de maintenir, mais aussi de développer notre activité.
Sur Crèvecoeur, les investissements portent leurs fruits ; vitesse augmentée, système de peigneuse blanchie opérationnel et nombre de « petits » investissements qui viennent renforcer l’amélioration des performances. Les services techniques ont fait de gros efforts pour maintenir les machines en activité, chose non aisée au vu de l’état du parc des maps.
Le mois de juillet va être bon sur le plan des volumes produits et de la performance industrielle, tout en ayant fabriqué des papiers techniquement difficiles à la map 4.
Malheureusement, Crèvecoeur est dans le rouge aujourd’hui sur le plan des résultats, dus en grande partie à la crise du coton (du jamais vu). Sans cette conjoncture défavorable, Crèvecoeur aurait des résultats largement positifs.
Aujourd’hui, se pose la question de la volonté de la direction générale sur l’avenir de l’activité billets.
Nos dirigeants ont manqué de clairvoyance ? Pourtant les consultants et autres analystes embauchés récemment, auraient du prévoir cette situation. Le manque d’anticipation dans ce domaine est flagrant. Peut-être ne leur donne-t-on pas les bonnes missions ?
Pour que Crèvecoeur vive et reste dans la course, et donc pour sauvegarder l’activité, il faut investir pour augmenter la vitesse sur map (comme cela a été fait à VHP), il n’y a que comme cela que l’on pourra être concurrentiel sur le marché, par abaissement des coûts de production. Bien sûr, il faut aussi acheter une coupeuse pour éviter un goulot d’étranglement et ensuite réaménager la salle et les postes en Finition.
Le manque de commandes commence à se faire ressentir dans certains services ; salle de finition, filigrane, etc. Certains contrats intérimaires n’ont pas été reconduits pour préserver le travail des titulaires de Crèvecoeur.
A la rentrée de septembre, si le carnet de commandes ne se remplit pas, nous allons entrer dans une période très difficile, en souhaitant que l’on ne nous parle pas de chômage partiel… Si nous en arrivons à de telles extrémités, tout le monde sera concerné ; les élus CGT seront vigilants sur le fait de ne laisser personne sur le bord de la route et de ne faire aucune discrimination.
Aujourd’hui, aucune communication n’a été faite par nos dirigeants sur la situation, on a l’impression que seuls les élus CGT s’inquiètent et tentent de trouver des solutions. Comme d’habitude…
Nous espérons que la situation va s’améliorer à la rentrée, la « synergie » en terme de commande doit fonctionner aussi lorsqu’une usine est en sous activité, et ceci sans faire grincer des dents…
LE SYNDICAT CGT USINE DE CREVECOEUR
USINE DE CREVECOEUR DE JOUY SUR MORIN
Le 03 août 2011
Bien que les machines tournent cet été, le carnet de commande est désespérément vide à la rentrée à Crèvecoeur. AWS a perdu deux gros appels d’offre coup sur coup, du fait que nos prix de vente étaient trop élevés. Comme nos concurrents n’ont rien à se mettre sous la dent, la guerre des prix est déclarée ; ceux qui ont les reins solides survivront, les autres crèveront… Une réalité horrible à dire… Aujourd’hui, les papeteries ferment à tour de bras, y compris dans notre activité.
AWS a des atouts pour passer ce cap, mais il faut que nos dirigeants aient la volonté de maintenir, mais aussi de développer notre activité.
Sur Crèvecoeur, les investissements portent leurs fruits ; vitesse augmentée, système de peigneuse blanchie opérationnel et nombre de « petits » investissements qui viennent renforcer l’amélioration des performances. Les services techniques ont fait de gros efforts pour maintenir les machines en activité, chose non aisée au vu de l’état du parc des maps.
Le mois de juillet va être bon sur le plan des volumes produits et de la performance industrielle, tout en ayant fabriqué des papiers techniquement difficiles à la map 4.
Malheureusement, Crèvecoeur est dans le rouge aujourd’hui sur le plan des résultats, dus en grande partie à la crise du coton (du jamais vu). Sans cette conjoncture défavorable, Crèvecoeur aurait des résultats largement positifs.
Aujourd’hui, se pose la question de la volonté de la direction générale sur l’avenir de l’activité billets.
Nos dirigeants ont manqué de clairvoyance ? Pourtant les consultants et autres analystes embauchés récemment, auraient du prévoir cette situation. Le manque d’anticipation dans ce domaine est flagrant. Peut-être ne leur donne-t-on pas les bonnes missions ?
Pour que Crèvecoeur vive et reste dans la course, et donc pour sauvegarder l’activité, il faut investir pour augmenter la vitesse sur map (comme cela a été fait à VHP), il n’y a que comme cela que l’on pourra être concurrentiel sur le marché, par abaissement des coûts de production. Bien sûr, il faut aussi acheter une coupeuse pour éviter un goulot d’étranglement et ensuite réaménager la salle et les postes en Finition.
Le manque de commandes commence à se faire ressentir dans certains services ; salle de finition, filigrane, etc. Certains contrats intérimaires n’ont pas été reconduits pour préserver le travail des titulaires de Crèvecoeur.
A la rentrée de septembre, si le carnet de commandes ne se remplit pas, nous allons entrer dans une période très difficile, en souhaitant que l’on ne nous parle pas de chômage partiel… Si nous en arrivons à de telles extrémités, tout le monde sera concerné ; les élus CGT seront vigilants sur le fait de ne laisser personne sur le bord de la route et de ne faire aucune discrimination.
Aujourd’hui, aucune communication n’a été faite par nos dirigeants sur la situation, on a l’impression que seuls les élus CGT s’inquiètent et tentent de trouver des solutions. Comme d’habitude…
Nous espérons que la situation va s’améliorer à la rentrée, la « synergie » en terme de commande doit fonctionner aussi lorsqu’une usine est en sous activité, et ceci sans faire grincer des dents…
LE SYNDICAT CGT USINE DE CREVECOEUR
3 août 2011
L'hôpital public rempart à l'exclusion (USAP CGT)
info: CGT
L’USAP CGT tient à alerter l’opinion publique, interpeller les politiques et exprimer son indignation et sa profonde préoccupation face à la politique de coupes sombre budgétaires à l’encontre du SAMU SOCIAL. C’est le signe alarmant du désengagement total de l’état face à la prise en charge de la population la plus démunie.
Ces mesures aboutissent à un drame humain et social quotidien, la remise en cause de la dignité humaine la plus élémentaire dans l’un des pays Européen les plus développés !!!.
Le SAMU SOCIAL 75 est désormais réduit à 3 permanenciers débordés et de fait injoignables
Pour ces raisons le SAMU SOCIAL, mais aussi les associations sont saturés et ne peuvent plus prendre en charge l’hébergement des sans abri, du fait de la réduction du nombre de nuitées financées.
Ces derniers, pour ne pas se retrouver à la rue, ont pour seul recours les services d’accueil des urgences, déjà saturés par l’accroissement des besoins. Ce sont des retraités, des personnes âgés, des très jeunes hommes et femmes, des enfants en bas âges et leurs mères, des familles entières qui sont à la rue.
La politique gouvernementale ne cesse de s’attaquer au modèle social de notre pays, et de remettre en cause les acquis issus du Conseil National de la Libération. Il conduit à l’exclusion du droit à la santé de certaines populations, avec le rejet de femmes et d’enfants en grande précarité issus majoritairement de l’immigration.
CELA EST INACEPTABLE ET PROFONDEMMENT SCANDALEUX !
C’est plus de 100.000 personnes environ qui sont à la rue aujourd’hui, et les chiffres sont en accroissement ! Que deviendront-ils en hiver ?!
Dans le 12eme arrondissement des personnes dorment dans la rue chaque soir, 111 familles ont été hébergées aux urgences dans la capitale depuis mai 2011. 4 familles ont passés la nuit aux urgences de l’hôpital St Antoine depuis début juillet, faute de place au SAMU SOCIAL. Mais aussi 17 recensés à Maternité de Pitié -Salpêtrière.
Le devoir d'humanité conduit naturellement les professionnels de santé des structures hospitalières à s'organiser pour offrir à ces personnes un hébergement de fortune dans des locaux hospitaliers avec un risque quotidien de saturation. Les solutions actuelles sont totalement insuffisantes. Ces familles nécessitent un environnement plus approprié, et de mesures de réduction de la précarité. Elles ont essentiellement besoin d'une prise en charge sociale et de moyens en hébergements, de logements sociaux. La prise en charge par les urgences hospitalières des personnes dont l'état de santé n'est pas en cause, ne peut être une solution pérenne.
Cette situation révèle par ailleurs certains aspects que les assistants sociaux de l’APHP dénoncent fortement, confrontés aux conséquences de l’impossibilité de mise à l’abri pour ces populations.
Cela s’illustre par : le retrait des subventions du SAMU SOCIAL, des frais de dossiers pour obtenir l’AME, ainsi que des projets de lois pour remettre en cause celle-ci pour l’hospitalisation. .
Dans ce contexte dramatique, l’APHP voudrait remettre en cause sous l’angle du coût, les séjours prolongés des femmes dans ses maternités, c’est aussi le manque de professionnel pour l’accueil social des usagers aux seins des hôpitaux (suppression de postes assistantes sociales, d’administratifs etc.…)
L’USAP CGT exige des mesures immédiates gouvernementales et institutionnelles concrètes, pour résoudre cette grande détresse sociale à laquelle tout un chacun dans ce contexte de crise peut être confronté.
C’est un enjeu social et humain essentiel pour lequel notre organisation syndicale ne cesse de se battre.
Communiqué de l'USAP CGT
La valse des CDD commence à coûter cher à Pôle Emploi
info: CGT
Pôle Emploi, qui a de plus en plus tendance à se croire au-dessus des lois, a été condamné par les Prud'hommes de Troyes à verser 19.000 € à une salariée dont le contrat doit être requalifié en CDI.
C'est ahurissant. Pôle Emploi, qui s'occupe des contrats des employeurs, devrait être irréprochable sur le respect du code du travail», commente Christian Parisot. Le secrétaire national du syndicat CFTC-Emploi s'attend même, dans les prochains mois, à une explosion de ces cas de salariés en contrat à durée déterminée (CDD) embauchés par Pôle Emploi en toute illégalité. Cela en concernerait plus de 80 pour la seule Champagne-Ardenne.
Déjà, en janvier, Pôle Emploi avait été condamné à verser près de 10.000 € à l'un de ses agents troyens dont le CDD avait été jugé illégal. Trois contrats aidés, entâchés pour vice de forme, ont par ailleurs donné lieu en septembre et janvier derniers à des condamnations de Pôle Emploi, avec à chaque fois près de 20.000 € à débourser.
Déjà près de 100.000 €
Rebelote ce jeudi 21 juillet. Et l'avocate troyenne, Me Corine Linval, a réussi à être particulièrement convaincante devant le conseil des Prud'hommes. Il a en effet requalifié l'ensemble des CDD d'une salariée auboise en poste à Bar-sur-Aube et conclus depuis juin 2009 en CDI. Vice de forme, motif de recrutement non licite, absence de contrat de travail… au final, Pôle Emploi Champagne-Ardenne a été également condamné à verser à cette salariée la somme de 19.000 €, dont 12.000 € en indemnité de requalification. «Le plus important pour la CFTC, c'est le maintien dans Pôle Emploi de cette salariée en CDI. À travers ce jugement, ajoute Christian Parisot, la justice confirme de nouveau que Pôle Emploi n'est pas au-dessus des lois, comme semble le penser la direction régionale.»
«Ces problèmes se posent partout en France. Mais dans ce domaine, la région est un peu "précurseur"», estime Christian Parisot qui évoque un autre gros dossier en cours, celui des congés payés sur les temps partiels : «Ces congés payés (25 jours par an) sont proratisés par Pôle Emploi. C'est illégal puisque le code du travail prévoit le même nombre de congés payés, quel que soit le temps de travail. Cela concerne 600 personnes en Champagne-Ardenne. On a déjà informé à trois reprises l'employeur, et l'Inspection du travail à Reims est au courant. Mais ce problème a une portée nationale : cela concerne 25.000 temps partiels en France», indique le secrétaire de la CFTC.
NDLR : Petit rappel...
Selon l'article L1242-1 du code du travail, «un contrat à durée déterminée, quel que soit son motif, ne peut avoir ni pour objet ni pour effet de pourvoir durablement un emploi lié à une activité normale et permanente de l'entreprise». A noter que les CUI (contrats aidés), également assortis d'une obligation de formation, sont aussi des CDD et relèvent de cet article.
En mai dernier, une ex CDD de Pôle Emploi à Marseille a saisi le tribunal des Prud'hommes en s'appuyant sur cet article. Elle travaillait sur une plateforme téléphonique, et ce sont en tout 7 de ses collègues, embauchés en CDD de 6 mois renouvelé une fois, qui poursuivent leur employeur, car le travail effectué sur ces plateformes correspond effectivement à une activité normale et permanente de l'organisme (puisque, jusqu'à preuve du contraire, Pôle Emploi n'a pas décidé de supprimer le 3949 ni à Marseille, ni ailleurs…).
Source : actuchomage.org
Pôle Emploi, qui a de plus en plus tendance à se croire au-dessus des lois, a été condamné par les Prud'hommes de Troyes à verser 19.000 € à une salariée dont le contrat doit être requalifié en CDI.
C'est ahurissant. Pôle Emploi, qui s'occupe des contrats des employeurs, devrait être irréprochable sur le respect du code du travail», commente Christian Parisot. Le secrétaire national du syndicat CFTC-Emploi s'attend même, dans les prochains mois, à une explosion de ces cas de salariés en contrat à durée déterminée (CDD) embauchés par Pôle Emploi en toute illégalité. Cela en concernerait plus de 80 pour la seule Champagne-Ardenne.
Déjà, en janvier, Pôle Emploi avait été condamné à verser près de 10.000 € à l'un de ses agents troyens dont le CDD avait été jugé illégal. Trois contrats aidés, entâchés pour vice de forme, ont par ailleurs donné lieu en septembre et janvier derniers à des condamnations de Pôle Emploi, avec à chaque fois près de 20.000 € à débourser.
Déjà près de 100.000 €
Rebelote ce jeudi 21 juillet. Et l'avocate troyenne, Me Corine Linval, a réussi à être particulièrement convaincante devant le conseil des Prud'hommes. Il a en effet requalifié l'ensemble des CDD d'une salariée auboise en poste à Bar-sur-Aube et conclus depuis juin 2009 en CDI. Vice de forme, motif de recrutement non licite, absence de contrat de travail… au final, Pôle Emploi Champagne-Ardenne a été également condamné à verser à cette salariée la somme de 19.000 €, dont 12.000 € en indemnité de requalification. «Le plus important pour la CFTC, c'est le maintien dans Pôle Emploi de cette salariée en CDI. À travers ce jugement, ajoute Christian Parisot, la justice confirme de nouveau que Pôle Emploi n'est pas au-dessus des lois, comme semble le penser la direction régionale.»
«Ces problèmes se posent partout en France. Mais dans ce domaine, la région est un peu "précurseur"», estime Christian Parisot qui évoque un autre gros dossier en cours, celui des congés payés sur les temps partiels : «Ces congés payés (25 jours par an) sont proratisés par Pôle Emploi. C'est illégal puisque le code du travail prévoit le même nombre de congés payés, quel que soit le temps de travail. Cela concerne 600 personnes en Champagne-Ardenne. On a déjà informé à trois reprises l'employeur, et l'Inspection du travail à Reims est au courant. Mais ce problème a une portée nationale : cela concerne 25.000 temps partiels en France», indique le secrétaire de la CFTC.
NDLR : Petit rappel...
Selon l'article L1242-1 du code du travail, «un contrat à durée déterminée, quel que soit son motif, ne peut avoir ni pour objet ni pour effet de pourvoir durablement un emploi lié à une activité normale et permanente de l'entreprise». A noter que les CUI (contrats aidés), également assortis d'une obligation de formation, sont aussi des CDD et relèvent de cet article.
En mai dernier, une ex CDD de Pôle Emploi à Marseille a saisi le tribunal des Prud'hommes en s'appuyant sur cet article. Elle travaillait sur une plateforme téléphonique, et ce sont en tout 7 de ses collègues, embauchés en CDD de 6 mois renouvelé une fois, qui poursuivent leur employeur, car le travail effectué sur ces plateformes correspond effectivement à une activité normale et permanente de l'organisme (puisque, jusqu'à preuve du contraire, Pôle Emploi n'a pas décidé de supprimer le 3949 ni à Marseille, ni ailleurs…).
Source : actuchomage.org
Procès pour «entrave à un CE» : Relaxez Gérard Filoche, ( inspecteur du travail )
info: CGT
Après sept années de procédure, l'inspecteur du travail Gérard Filoche doit passer en première audience ce mercredi 6 juillet 2011 devant la 31e chambre correctionnelle du Palais de justice de Paris à 13h30. Voici son communiqué :
Chères amies, chers amis,
Je vous écris à la veille de mon procès parce que vous faites partie des 38.650 signataires de la pétition pour me soutenir — cf. site dédié www.solidarite-filoche.fr — et aussi, pour un certain nombre, vous avez généreusement contribué à me soutenir financièrement. 1.660 d’entre vous m’ont aussi laissé des messages chaleureux sur le site. Les petites rivières font de grands fleuves, même si de l’argent est encore nécessaire. Ça m’a vraiment fait chaud au cœur de constater, venue de toute la France, cette sympathie concrète, incarnée y compris financièrement. Je ne m’y attendais pas à ce point. J’en ai été très ému.
Voir tout le texte, cliquez sur le lien ci- dessous
Après sept années de procédure, l'inspecteur du travail Gérard Filoche doit passer en première audience ce mercredi 6 juillet 2011 devant la 31e chambre correctionnelle du Palais de justice de Paris à 13h30. Voici son communiqué :
Chères amies, chers amis,
Je vous écris à la veille de mon procès parce que vous faites partie des 38.650 signataires de la pétition pour me soutenir — cf. site dédié www.solidarite-filoche.fr — et aussi, pour un certain nombre, vous avez généreusement contribué à me soutenir financièrement. 1.660 d’entre vous m’ont aussi laissé des messages chaleureux sur le site. Les petites rivières font de grands fleuves, même si de l’argent est encore nécessaire. Ça m’a vraiment fait chaud au cœur de constater, venue de toute la France, cette sympathie concrète, incarnée y compris financièrement. Je ne m’y attendais pas à ce point. J’en ai été très ému.
Voir tout le texte, cliquez sur le lien ci- dessous
2 août 2011
Logement : Quand l’État fait les poches des salariés
Info : CGT
Le Secrétaire d’État au Logement, Benoits Apparu, affiche un satisfecit sur les résultats de la concertation sur l’emploi des ressources du « 1% logement ». Pour la CGT, la réalité est toute autre.
L’État veut prélever dans la poche des 11 500 000 salariés du privé, 3.4 Milliards, pour les années 2012 /2014, afin de financer en ses lieux et place les Agences Gouvernementales ANRU (Agence Nationale de Rénovation Urbaine) et ANAH (Agence Nationale d’Amélioration de l’Habitat). Ce sont donc 300 € qui seront pris dans la « poche » de chaque salarié-e du privé par le biais de la participation des entreprises à l’effort de construction (P.E.E.C).
Ce qui hier finançait le logement des salariés du privé va financer le désengagement de l’État dans la politique du logement, que ce soit en matière de construction, de rénovation urbaine ou encore de résorption de l’habitat vétuste et insalubre. Le gouvernement fait également le choix de privilégier par la défiscalisation, l’investissement spéculatif de logements locatifs privés, au lieu d’être le garant du Droit au Logement pour Tous.
Par ce prélèvement injuste assis sur les cotisations des entreprises privées de plus de 20 salariés, l’État met à mal et appauvrit le 1% logement, cette institution « paritaire » patronat – organisations syndicales au service des salariés du privé qui doit notamment leur permettre d’obtenir un logement HLM ou un prêt accession qui fait souvent office d’apport pour l’achat d’un logement et autres services.
70 000 logements sociaux ne seront pas financés et ce malgré les besoins criant au regard de la pénurie persistante de logements, de la flambée des prix de l’immobilier, de la faiblesse des salaires et des pensions, de la précarité de l’emploi.
45000 logements en direction des jeunes sont remis en cause, cela démontre une nouvelle fois que l’intérêt porté par le gouvernement à la jeunesse se limite davantage à un affichage qu’à une réelle volonté politique.
C’est encore, la fin voulue de l’Association Foncière Logement en tant qu’outil de mixité sociale au sein des quartiers faisant l’objet de programmes de rénovation urbaine . Sa modélisation en SA HLM se traduirait par une vente massive d’un patrimoine à valeur de 5 milliards € qui n’irait plus au financement des régimes de retraites AGIRC ARCCO.
Pour répondre aux attentes légitimes des salariés en matière de logement, la CGT demande :
• la révision de la loi Boutin et le retour à une véritable gestion paritaire d’Action Logement.
• L’élargissement de la collecte à toutes les entreprises privées non assujetties
• La mise en place d’un dispositif spécifique, s’inspirant du 1 % logement pour les trois versants de la Fonction Publique.
• la tenue d’assises, y compris en territoire, mettant en présence l’ensemble des acteurs (État, associations et organisations syndicales, collectivités locales, bailleurs sociaux, représentants des usagers, …)
Après la concertation et ses limites, des négociations doivent s’ouvrir pour relever le défi du logement aujourd’hui en crise et pour faire, d’une des préoccupations majeures de nos concitoyens et salariés une véritable cause nationale. La CGT entend y prendre toute sa place.
Montreuil, le 1er août 2011
Le Secrétaire d’État au Logement, Benoits Apparu, affiche un satisfecit sur les résultats de la concertation sur l’emploi des ressources du « 1% logement ». Pour la CGT, la réalité est toute autre.
L’État veut prélever dans la poche des 11 500 000 salariés du privé, 3.4 Milliards, pour les années 2012 /2014, afin de financer en ses lieux et place les Agences Gouvernementales ANRU (Agence Nationale de Rénovation Urbaine) et ANAH (Agence Nationale d’Amélioration de l’Habitat). Ce sont donc 300 € qui seront pris dans la « poche » de chaque salarié-e du privé par le biais de la participation des entreprises à l’effort de construction (P.E.E.C).
Ce qui hier finançait le logement des salariés du privé va financer le désengagement de l’État dans la politique du logement, que ce soit en matière de construction, de rénovation urbaine ou encore de résorption de l’habitat vétuste et insalubre. Le gouvernement fait également le choix de privilégier par la défiscalisation, l’investissement spéculatif de logements locatifs privés, au lieu d’être le garant du Droit au Logement pour Tous.
Par ce prélèvement injuste assis sur les cotisations des entreprises privées de plus de 20 salariés, l’État met à mal et appauvrit le 1% logement, cette institution « paritaire » patronat – organisations syndicales au service des salariés du privé qui doit notamment leur permettre d’obtenir un logement HLM ou un prêt accession qui fait souvent office d’apport pour l’achat d’un logement et autres services.
70 000 logements sociaux ne seront pas financés et ce malgré les besoins criant au regard de la pénurie persistante de logements, de la flambée des prix de l’immobilier, de la faiblesse des salaires et des pensions, de la précarité de l’emploi.
45000 logements en direction des jeunes sont remis en cause, cela démontre une nouvelle fois que l’intérêt porté par le gouvernement à la jeunesse se limite davantage à un affichage qu’à une réelle volonté politique.
C’est encore, la fin voulue de l’Association Foncière Logement en tant qu’outil de mixité sociale au sein des quartiers faisant l’objet de programmes de rénovation urbaine . Sa modélisation en SA HLM se traduirait par une vente massive d’un patrimoine à valeur de 5 milliards € qui n’irait plus au financement des régimes de retraites AGIRC ARCCO.
Pour répondre aux attentes légitimes des salariés en matière de logement, la CGT demande :
• la révision de la loi Boutin et le retour à une véritable gestion paritaire d’Action Logement.
• L’élargissement de la collecte à toutes les entreprises privées non assujetties
• La mise en place d’un dispositif spécifique, s’inspirant du 1 % logement pour les trois versants de la Fonction Publique.
• la tenue d’assises, y compris en territoire, mettant en présence l’ensemble des acteurs (État, associations et organisations syndicales, collectivités locales, bailleurs sociaux, représentants des usagers, …)
Après la concertation et ses limites, des négociations doivent s’ouvrir pour relever le défi du logement aujourd’hui en crise et pour faire, d’une des préoccupations majeures de nos concitoyens et salariés une véritable cause nationale. La CGT entend y prendre toute sa place.
Montreuil, le 1er août 2011
Le collectif national Leclerc : fonctionnement, objectifs, contacts
Info : CGT
Les élus CGT, chez E.LECLERC (centrales et magasins), sont victimes de discriminations ainsi que de harcèlements importants.
Aussi, en 2002, a été créé un collectif national (avec 4 ou 5 E.LECLERC). Aujourd’hui, ce collectif, à force de militantisme et de bataille, a la fierté d’afficher une soixantaine de bases, actives et revendicatives.
Ce collectif se rassemble une fois par trimestre, dans le cadre de formations à la Fédération Commerce et Services à Montreuil, avec comme Secrétaire fédérale Brigitte Couderc-Delorge. Y sont organisées diverses formations (par exemple, sur la représentativité syndicale) ou des journées d’études sur des thèmes (par exemple, journée au Centre Ambroise Croizat, sur le handicap au travail).
Le collectif est composé de différents groupes de travail :
Le Groupe juridique : Muriel de Narbonne
Le Groupe coordination : Bernard de Paris
Le Groupe communication : Alex de Bordeaux
Le Groupe revendication : Sophie de St Paul les Dax
Notre but est d’apporter un soutien aux syndiqués de la CGT et des réponses plus concrètes aux problèmes auxquels ils sont confrontés (NAO, participation, seniors, représentativité, etc.). Tous les participants sont en contact permanent via internet.
Pour toutes questions vous pouvez joindre les référents suivants :
Pour la Fédération Commerce et Services
Brigitte Couderc-Delorge, Secrétaire fédérale
brigittecgt@aol.com
Tél : 06.09.26.54.16
Pour la région parisienne
Bernard Burg
bernardburg@gmail.com
Tél : 06.84.00.06.64
Pour la région nord-ouest
Adeline Cayre
adeline.cayre@orange.fr
Tél : 06.20.75.52.07
Pour la région nord-est
Régine Goeuriot
rayline903@hotmail.fr
Tél : 06.19.75.54.33
Pour la région sud-ouest
Maria Orus
maria-orus@wanadoo.fr
Tél : 06.30.08.62.69
Pour la région sud-est
Thierry Sartre
zoman07@orange.fr
Tél : 06.85.64.52.88
MERCI POUR VOTRE AIDE
Le collectif National CGT E.LECLERC
Les élus CGT, chez E.LECLERC (centrales et magasins), sont victimes de discriminations ainsi que de harcèlements importants.
Aussi, en 2002, a été créé un collectif national (avec 4 ou 5 E.LECLERC). Aujourd’hui, ce collectif, à force de militantisme et de bataille, a la fierté d’afficher une soixantaine de bases, actives et revendicatives.
Ce collectif se rassemble une fois par trimestre, dans le cadre de formations à la Fédération Commerce et Services à Montreuil, avec comme Secrétaire fédérale Brigitte Couderc-Delorge. Y sont organisées diverses formations (par exemple, sur la représentativité syndicale) ou des journées d’études sur des thèmes (par exemple, journée au Centre Ambroise Croizat, sur le handicap au travail).
Le collectif est composé de différents groupes de travail :
Le Groupe juridique : Muriel de Narbonne
Le Groupe coordination : Bernard de Paris
Le Groupe communication : Alex de Bordeaux
Le Groupe revendication : Sophie de St Paul les Dax
Notre but est d’apporter un soutien aux syndiqués de la CGT et des réponses plus concrètes aux problèmes auxquels ils sont confrontés (NAO, participation, seniors, représentativité, etc.). Tous les participants sont en contact permanent via internet.
Pour toutes questions vous pouvez joindre les référents suivants :
Pour la Fédération Commerce et Services
Brigitte Couderc-Delorge, Secrétaire fédérale
brigittecgt@aol.com
Tél : 06.09.26.54.16
Pour la région parisienne
Bernard Burg
bernardburg@gmail.com
Tél : 06.84.00.06.64
Pour la région nord-ouest
Adeline Cayre
adeline.cayre@orange.fr
Tél : 06.20.75.52.07
Pour la région nord-est
Régine Goeuriot
rayline903@hotmail.fr
Tél : 06.19.75.54.33
Pour la région sud-ouest
Maria Orus
maria-orus@wanadoo.fr
Tél : 06.30.08.62.69
Pour la région sud-est
Thierry Sartre
zoman07@orange.fr
Tél : 06.85.64.52.88
MERCI POUR VOTRE AIDE
Le collectif National CGT E.LECLERC
Grève des salariés du magasin Leclerc de St Raphaël
Info : CGT
Une grève pour les salaires et les conditions de travail
les salariés du magasin Leclerc de St Raphaël viennent de décider de se mettre en grève reconductible à compter du vendredi 29 juillet à 15 H 30.
Les motifs de cette grève concernent à la fois les conditions de travail et les salaires. En effet, le directeur du magasin à décider sans consulter ni les représentants du personnel ni les délégués syndicaux de modifier de manière importante les plages de travail des salariés de la station essence. Les nouveaux horaires aggravent les amplitudes de travail et multiplient les déplacements domicile-travail, travail-domicile. Malgré deux démarches de la déléguée syndicale CGT, l’employeur refuse de négocier.
Par ailleurs, des élections professionnelles viennent d’avoir lieu dans des un climat délétère et de peur qui n’a cependant pas empêché la, CGT d’obtenir 40 % des voix ce qui représente un très bon résultat. Dans ce contexte et en appui à la déléguée syndicale CGT et aux salariés grévistes, la CGT du Var appelle à un rassemblement dès 15 heures le vendredi 29 juillet près du magasin Boulevard de l’Aspé .
Une grève pour les salaires et les conditions de travail
les salariés du magasin Leclerc de St Raphaël viennent de décider de se mettre en grève reconductible à compter du vendredi 29 juillet à 15 H 30.
Les motifs de cette grève concernent à la fois les conditions de travail et les salaires. En effet, le directeur du magasin à décider sans consulter ni les représentants du personnel ni les délégués syndicaux de modifier de manière importante les plages de travail des salariés de la station essence. Les nouveaux horaires aggravent les amplitudes de travail et multiplient les déplacements domicile-travail, travail-domicile. Malgré deux démarches de la déléguée syndicale CGT, l’employeur refuse de négocier.
Par ailleurs, des élections professionnelles viennent d’avoir lieu dans des un climat délétère et de peur qui n’a cependant pas empêché la, CGT d’obtenir 40 % des voix ce qui représente un très bon résultat. Dans ce contexte et en appui à la déléguée syndicale CGT et aux salariés grévistes, la CGT du Var appelle à un rassemblement dès 15 heures le vendredi 29 juillet près du magasin Boulevard de l’Aspé .
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