« Les gars dans les abattoirs sont très en colère. Ils se sont fortement engagés pendant le confinement pour que la population continue à avoir accès à des produits de première nécessité, dont la viande, mais leurs conditions de travail se sont dégradées », prévient le secrétaire général de la FNAF-CGT, Julien Huck qui cite des chiffres : malgré les 45 % de personnels mis au chômage technique dans l'industrie alimentaire, « la production a été assurée à 95 % ! »
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