« Il a vu la mort et il n'a droit à aucune reconnaissance ». Employé dans un Monoprix à Boulogne (Hauts-de-Seine), Zouhir Zerrouki a contracté le coronavirus début avril avant d'être hospitalisé. Il vient d'apprendre que son arrêt-maladie le privera de sa prime de 1 000 euros.
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