29 mai 2020

Les Goodyear gagnent aux prud’hommes, treize ans après


Après treize ans de combat acharné, la victoire est totale. Ce jeudi 28 mai, les prud’hommes d’Amiens ont donné raison aux 832 anciens salariés de l’usine Goodyear d’Amiens-Nord qui contestaient leur licenciement économique. L’entreprise a été condamnée pour « licenciement sans motif économique valide », et les licenciements ont été considérés par la justice comme invalides.

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Au Leclerc de Saint-Pierre, la santé des salariés sacrifiée sur l’autel du profit

  À Saint-Pierre-lès-Elbeuf, en Seine-Maritime, le centre E. Leclerc multiplie les pratiques délictueuses. La CGT dénonce une direction qui méprise ses obligations de sécurité et de santé auprès de ses salariés. Entretien avec Sébastien David, secrétaire syndical CGT, secrétaire du CSE et de la CSSCT.

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Malade de la Covid-19, un salarié de Monoprix est privé de sa prime

« Il a vu la mort et il n'a droit à aucune reconnaissance ». Employé dans un Monoprix à Boulogne (Hauts-de-Seine), Zouhir Zerrouki a contracté le coronavirus début avril avant d'être hospitalisé. Il vient d'apprendre que son arrêt-maladie le privera de sa prime de 1 000 euros.

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Dans les abattoirs, les conditions de travail dégradées favorisent le coronavirus

« Les gars dans les abattoirs sont très en colère. Ils se sont fortement engagés pendant le confinement pour que la population continue à avoir accès à des produits de première nécessité, dont la viande, mais leurs conditions de travail se sont dégradées », prévient le secrétaire général de la FNAF-CGT, Julien Huck qui cite des chiffres : malgré les 45 % de personnels mis au chômage technique dans l'industrie alimentaire, «la production a été assurée à 95 % ! »

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28 mai 2020

Frais bancaires : la CGT demande d'étendre le plafonnement des tarifs d'incidents

La CGT Banques et Assurances a demandé au président de la République une extension du plafonnement des frais d'incidents bancaires face aux difficultés financières générées par l'épidémie de Covid-19, selon un courrier publié mercredi.

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Alternative au chômage partiel : le patronat positif, les syndicats critiquent la méthode

On constate une fois de plus que le gouvernement prend des décisions sans consulter les syndicats et visiblement pas que la CGT… » commente Denis Gravouil, en charge des questions d'emploi et de chômage pour la centrale de Montreuil. « Personne dans l'exécutif ne nous a contactés en amont de cette annonce », déplore Michel Beaugas, son homologue de Force Ouvrière, dont le secrétaire général, Yves Veyrier, a écrit le 26 mai à Edouard Philippe pour se plaindre d'avoir été mis devant le fait accompli sur la réforme du chômage partiel. « Ils égrènent les dispositions sans nous consulter », regrette aussi Marylise Léon, la secrétaire générale adjointe de la CFDT, qui réitère la proposition de son organisation de « se poser ensemble pour travailler sur l'enjeu de la préservation de l'emploi ».

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Urgence de l’inventaire des luttes passées 

La crise du Covid-19 ne doit pas nous faire oublier que la France sort d’une année de mobilisations historiques. Un héritage que l’on peut notamment honorer en s’appuyant sur les noms des stations du métro parisien.    Il faut aujourd’hui faire un petit effort pour se souvenir qu’il y a peu le pays traversait l’un des plus importants mouvements sociaux de son histoire. Le 5 décembre 2019, le secteur des transports publics impulsait en effet une grève contre l’inique réforme des retraites. On ne parlait plus que de ça. « Bras de fer » et « prise d’otages », rabâchaient les chaînes d’info en continu ; « solidarité interprofessionnelle », préféraient les grévistes. 


Les salariés d'Action logement se mobilise le 4 juillet pour les salaires !  La CGT Action Logement vous convie à une petite pause rev...